6 avril 2011
Côte d'Ivoire/ Communiqué du Collectif Socialiste Panafricain : Gbagbo a gagné et l’Afrique aussi !
Photo : DR
Tout observateur honnête de la guerre coloniale à laquelle nous assistons en Côte d'Ivoire, peut faire un constat sans équivoque, Gbagbo a gagné et l’Afrique aussi ! Le Président Laurent Gbagbo n’a pas lutté contre les rebelles en guenille de Ouattara, mais bien contre les puissances impérialistes coalisées ! C'est-à-dire, plus lâches que nous le pensions. L’une des caractéristiques des lâches, comme on l’a souvent vu, c’est de s’attaquer en meute à plus faible que soi.
Malgré les armes et les avions de l'Occident, les caisses de caviar à l'hôtel du Golfe, les compromissions des ennemis de l'Afrique debout à la recherche de subventions européennes, Ouattara et sa cohorte ont lamentablement fuit devant l’armée ivoirienne et son Président.
On se rappelle encore d’un "Aubouana" Américain qui nous racontait dans ses poèmes qui font sourire le fils d’Afrique Louis Farrakhan que " l'Afrique n'a pas besoin d’hommes forts mais d'institutions fortes" ! Les mêmes institutions qu’on foule aux pieds à Abidjan en ce moment.
Après le génocide perpétré par ses fantassins à l’Ouest du Pays, force est de reconnaitre que Ouattara devra son poste de préfet de France en Côte d’Ivoire à ses supérieurs du FMI et à Sarkozy!
La partie ne fait que commencer, Gbagbo a ouvert la voie de l'Afrique digne, celle qui sert ses enfants et n’a de maître que le devenir de son peuple. Merci Président !
Fait à Paris, le 5 avril 2011
Le Collectif socialiste panafricain
Malgré les armes et les avions de l'Occident, les caisses de caviar à l'hôtel du Golfe, les compromissions des ennemis de l'Afrique debout à la recherche de subventions européennes, Ouattara et sa cohorte ont lamentablement fuit devant l’armée ivoirienne et son Président.
On se rappelle encore d’un "Aubouana" Américain qui nous racontait dans ses poèmes qui font sourire le fils d’Afrique Louis Farrakhan que " l'Afrique n'a pas besoin d’hommes forts mais d'institutions fortes" ! Les mêmes institutions qu’on foule aux pieds à Abidjan en ce moment.
Après le génocide perpétré par ses fantassins à l’Ouest du Pays, force est de reconnaitre que Ouattara devra son poste de préfet de France en Côte d’Ivoire à ses supérieurs du FMI et à Sarkozy!
La partie ne fait que commencer, Gbagbo a ouvert la voie de l'Afrique digne, celle qui sert ses enfants et n’a de maître que le devenir de son peuple. Merci Président !
Fait à Paris, le 5 avril 2011
Le Collectif socialiste panafricain
Mercredi 6 Avril 2011
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