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POUR UN GABON MEILLEUR!
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21 juillet 2011

Législatives / La France et Ouattara préparent une grande fraude électorale à travers une opération baptisée « Code d’Honneur ».

Lentement mais sûrement avec le soutien de la France, Ouattara est entrain d’asseoir sa dictature. Des manœuvres très obscures sont en cours dans ce sens à la CEI. Les nouvelles qui nous viennent de la « case » électorale si chère à Youssouf Bakayoko, sentent le soufre. En effet, des commissaires centraux proches du RHDP ayant requis l’anonymat, nous ont approchés pour nous faire des révélations de taille. Selon leurs dires, une opération d’envergure baptisée « Code d’Honneur » pour la partie française ou NLC « Noyer Le Cafri » pour le RDR est en ce moment même en préparation pour être exécutée lors des différents scrutins électoraux à venir ; à savoir les législatives, les municipales et les départementales. Pour ces derniers, la visite du premier français François Fillon était d’une importance capitale pour cette opération.
Ils se disent choqués par ce qui se profile à l’horizon à savoir le retour au parti unique. Pour eux, bien qu’ils soient opposés au président Laurent Gbagbo, au moins sous lui, la démocratie avait tout son sens. Aucun parti politique n’avait le monopole des sièges toutes élections confondues. Mais avec l’opération en cours, le RHDP fera une razzia des sièges de tous les scrutins. De quoi s’agit-il ? Ces commissaires centraux nous ont révélés que Paris veut se « blanchir » de son coup d’Etat sur le président Laurent Gbagbo. Pour ce faire, il faut inévitablement que le parti de son poulain fasse un « tsunami » des sièges aux différents scrutins électoraux futurs. Cela lui permettra (la France) de justifier son coup d’Etat aux yeux du monde comme quoi Alassane Dramane Ouattara est le « vrai candidat du peuple » puisque sa coalition vient de rafler tous les sièges. Ce qui prouvera que le président Laurent Gbagbo lui avait volé sa victoire.
Ordre a été donné à Youssouf Bakayoko et à Y. Choï de tout mettre pour que cette exigence de Paris soit une réalité. Il a été promis à Youssouf Bakayoko, un poste de président à la tête d’une institution en création par Alassane Ouattara.
Quand à Amadou Soumahoro numero deux de la CEI et récemment nommé secrétaire général intérimaire du RDR par Alassane Dramane Ouattara et Bamba Yacouba, ils seront nommés sauf changement de dernière heure, ambassadeurs ainsi que d’autres commissaires du RHDP au sein de ladite institution. Fillon avait dans sa délégation, le patron d’une entreprise spécialisée dans le traitement informatique de données biométriques. Elle travaillera avec la CEI, l’I NS et la SAGEM. Mais, elle aura une mission spéciale, celle d’insérer frauduleusement les 429.030 personnes que Beugré Mambé avait voulu insérer et qui lui avait coûté son poste ainsi que les 1.033.000 inscrits de la liste litigieuse dite « liste grise ». Il est reproché à la SAGEM d’avoir échoué dans cette initiative.
La composition de la CEI dans sa forme actuelle qui pose problème car coloriée à 96% en « orange » couleur du RHDP, a été soumise au premier français. Selon nos interlocuteurs, cette question a été balayée du revers de la main par François Fillon parce qu’il estime que la composition de la CEI résulte des accords de Marcoussis, et que ces dits accords ne seront caducs qu’après l’organisation de toutes les élections sous Alassane Dramane Ouattara. Voilà pourquoi, le président de la CEI procède depuis un certain temps au remplacement des commissaires de l’opposition par des commissaires RHDP sans être inquiété, pour lui ces derniers sont démissionnaires car ne répondant plus aux convocations de réunion. Pourtant nul n’ignore que ces commissaires de l’opposition sont soit à l’extérieur pour certains soit vivent terrés pour d’autres pour échapper à la furia des sanguinaires comme Morou Ouattara, Sheriff Ousmane, Ousmane Coulibaly et autres.
Nos hôtes du jour se disent tristes de voir le FPI se détourner de ce qui devait être son combat pour des querelles inutiles.
Les nombreux voyages de leur mentor dans la sous-région répondent à un seul souci ; les modalités du convoyage de certains nationaux de ces pays en Côte d’Ivoire en vue de participer aux différents scrutins électoraux. Ces derniers n’auront aucun mal à voter puisque leur carte nationale d’identité et leur carte d’électeur seront déjà confectionnées à partir de la « liste grise » et des 429.030 personnes frauduleuses. Leur seul effort sera de fournir leur photo d’identité.
L’ONUCI, en ce qui la concerne toujours selon nos interlocuteurs, est chargée de l’identification de tous ces étrangers (Noms & prénoms – Pays d’origine – Date d’arrivée - lieu de déportation en C.I – etc.) et de leur répartition sur le territoire national. Une fois, le vote achevé, elle est chargée de leur retirer leur carte d’identité et d’électeur et ils seront transportés soit dans leur pays d’origine soit ils pourront rester mais avec leur carte d’identité d’origine. L’ONUCI sera épaulée dans sa tâche par certaines organisations humanitaires. Ce bétail électoral servira aussi longtemps que possible. Ce qui signifie un retour direct au parti sans passer par la case de départ.
Nous leur avons fait savoir que c’est cette méthode qui avait prévalu aux élections présidentielles passées. Nos commissaires nous répondu qu’elle ne sait pas passer comme cela se devait ce qui explique toutes ces irrégularités que les observateurs internationaux ont décrié. Pour eux, à ces deux tours des élections, il y a eu vote multiple par manque de votants physiquement présents. Puisqu’à cause de la crise, la population des zones CNO (Centre Nord Ouest) ayant considérablement diminué, il fallait des votants or les électeurs étrangers n’ont pas répondu massivement. C’est ce qui explique ces scores soviétiques dus aux votes multiples puisque ces illettrés de rebelles ne sachant pas faire la différence entre nombre d’inscrits et suffrages exprimés.
Mais, cette fois étant donné que le monde entier aura les yeux rivés sur ces élections pour savoir qui de Laurent Gbagbo et de Alassane Dramane Ouattara a la majorité, alors il faudra éviter les erreurs du passé. D’où la nécessité de la présence de ces étrangers le jour J dans les bureaux de vote. Toujours selon leurs explications, en marge du sommet de Malabo (Sommet de l’UA du 30 juin au 1er juillet en Guinée Equatoriale), des émissaires des présidents de la Côte d’Ivoire, du Burkina Faso, du Mali, du Togo, du Bénin du Sénégal, du Libéria et même du Gabon se sont rencontrés pour peaufiner la stratégie. Chaque pays devra fournir en ce qui le concerne un nombre exact de ces nationaux ayant le profil requis (ne pas être trop marqué des traits sociologiques de son pays) pour l’opération. Le ministre ivoirien de l’Intégration Africaine Adama Bictogo et son homologue burkinabé des Affaires Etrangères Djibril Bassolé٭ sont les chevilles ouvrières de cette opération.
Le ministre burkinabé aura une visite de travail d’ici peu dans la capitale ivoirienne où il s’entretiendra avec nos autorités, l’ONUCI, et certaines organisations coptées pour ce plan funeste et macabre.
A la question de savoir, quelle était la source de leur motivation en dénonçant ce plan aujourd’hui, nos chargés des élections, nous ont dit être pris de remords. Alors, ils fallaient qu’ils libèrent leur conscience de ce fardeau. Et, comme eux, il y en a plusieurs au sein de leur institution et au sein de leur parti.
Avant de nous laisser, nos amis d’un jour, nous ont laissé entendre que le chef de l’Etat n’a pas l’intention de désarmer « ses guerriers mystiques » de sitôt. Il compte faire régner l’ordre par la terreur au fin d’empêcher les militants de l’opposition d’exercer librement leur devoir civique et aussi tuer toutes velléités de soulèvement populaire. Ses ministres et collègues dans la loge, Soro Guillaume et Hamed Bakayoko sont entrain de tailler notre armée sur mesure avec leurs frères du Nord et des mercenaires. Ils procèdent en ce moment même à la répartition dans tous les grands commandements de l’armée et de la police, des soldats burkinabés dit radiés mais qui en fait ne le sont pas. Ils sont dans notre armée et payés par l’Etat ivoirien. Ils disent qu’ils se sentiront soulagés lorsque leur révélation paraîtra dans les journaux pour être sus des ivoiriens et du monde entier.

                                                                             

Auteur: Charles Tiekpo - Télédiaspora.net

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