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POUR UN GABON MEILLEUR!
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17 mars 2013

Le Gabon est vraiment une sale chienne de maman qui mange ses propres enfants pour ne pas avoir à s'en occuper

Je pique au prochain roman explosif d'un Kabastelle, docteur gabonais en "Littérature comparée et francophone", le mot "Sauvagérie" synonyme de l'expression d'une insolence portée au summum de l'impolitesse au bord du blasphème, pour renommer le Gabon par le nom que cette satane République de sorciers pédophiles et cannibales mérite, tant les pères et mères de famille nombreuse complotent avec une permanence diabolique au sacrifice massif de leurs progénitures vieilles avant l'âge.
Le Gabon est vraiment une sale chienne de maman qui mange ses propres enfants pour ne pas avoir à s'en occuper

Mon courroux veut dire au monde entier que le Gabon offre sa jeunesse en Holocauste à ses ancêtres insatiables gloutons en chairs fraîches

"Afrique mon Afrique,
Afrique de la fèvre guerrière
Et de la sorcellerie ancestrale"

Birago Diop ainsi travesti, ici traduit la dernière honte qui m'envahit le coeur de haine à l'encontre de tout ce que le Gabon recence d'adultes, tout aussi bien que de vieilles humanités avides de remplir leurs panses sans fond, du cadavre sanguinolent des bambins qui naissent malheureusement du mauvais côté de la planète. Quand jadis il était une grâce pour la jeunesse heureuse que j'ai vécue dans l'idée que l'Etat, par le biais de notre "Mère Allaitante" ("La P...respectueuse" !!!), promettait d'aider à ce que chaque petit gabonais parvienne à réaliser ses rêves en fournissant des efforts à l'école, aujourd'hui ce "Contrat social" ne concerne plus qu'une infime partie chanceuse arrivée au monde, la cuillère en or à la bouche. Plus le temps avance, plus l'allégorique "Maman-Bébé" sceau de la Nation se comporte en chienne enragée qui dévore le fruit de son con ! Et quel con ! Ce con qui n'a jamais su dire non à la colonisation violeuse de ses valeurs, ni à l'immigration ouest-africaine voleuse de son argent pour l'investir chez elle ! Ce con "ASAMC vend tout moins cher" aux multinationales : son patrimoine, son territoire, ses frontières, son palais, ses entreprises publiques, la morale des inombrables civilisations qui forment son arbre tordu à neuf branches...

Non contente de mal nourrir, de sous nourrir, et surtout de ne pas nourrir ces êtres n'ayant pas demandé à naître de telle infortunée parentalité, cette mauvaise "Mère" dite Gabon dépense sans compter lorsqu'il s'agit de célébrer les morts partis grossir les rangs des ancêtres friands de viandes rougeoyantes, de fêter l'insomnie des mariages, de festoyer jusqu'à mourir de boire et manger après une nomination, de régler invariablement la dîme ou la quête quelque soit l'aisance matérielle de la famille.

Par contre, plus personne lorsque vient le moment de trouver comment faciliter la scolarité de ses bébés, à telle enseigne que le trousseau scolaire, les sous du transport, les cadeaux de Noël, bref l'assistanat fait gratter la tête aux parents souvent prompts à se vider le fond des poches au bar d'en face. Combien d'enfants se souviennent-ils que leur anniversaire ait eu droit à un gâteau ou ne serait-ce qu'un "bédoume", un "Bangala-canard", un "Con-pigeon" ? Combien sont-ils à savoir quoi faire, une fois l'école terminée ? Combien disposent d'autres loisirs que piéter jusqu'au premier débit de gnole, d'ailleurs facilement accessible, moyennant un peu de fric ? Combien savent-ils repousser une invitation à se débaucher ? D'ailleurs combien trouvent-ils à l'école, au collège, au lycée, des programmes susceptibles de garantir à chaque apprenant de développer son potentiel ?

Il n'est que d'observer les programmes primaires et secondaires pour cerner le noeud du problème. Car en dehors des matières classiques, l'Ecole du Gabon néglige la part artistique des enseignements qui participent autant que les mathématiques ou l'anglais, à l'épanouissement d'un élève. Or, le dessin, la musique, l'éducation manuelle et technique ont tous disparu des cours. A quoi donc nous servent les diplômés de l'ENAM, si ce n'est pas pour que nos écoliers, collégiens et lycéens en profitent au maximum, en classe ?

Les jeux de dames, les échecs, le scrabble, le "Songo'o", l'ikoku, nos instruments de musique traditionnelle...qu'est-ce qui explique que l'Ecole du Gabon n'en exploite pas les objets de connaissances ? Au lieu de se constituer comme ce sanctuaire où apprendre embrasserait des disciplines théoriques et pratiques jusqu'aux diverses formes d'expressions artistiques puisées dans les coutumes nationales, l'Ecole du Gabon s'est tranformée en un camp de concentration, un couloir de la mort, pourvoyeur de victimes aux gros consommateurs de langues, de coeurs, de clitoris, de vulves, d'ovules, d'ovaires, de pénis, de testicules, de sperme.

La cruauté du Gabon envers ses enfants amène qu'à l'intérieur même des cours d'école, des papas et des mamans voyous recrutent des rabatteurs parmi les grands pour y organiser des tentations des plus petits à les suivre dans des longues beuveries, puis l'ivresse entraîne des tournantes succédées de pieux plantés au vagin ou bien des meurtres accompagnés de dépeçages des dépouilles, ensuite livrées en pièces-détachées à d'éventuels commanditaires. Des boîtes de nuits et des bistrots sont entrés dans cette danse macabre. Les quartiers des Charbonnages, Louis, les Etats-Unis d'Akébé font office de terrain de chasse privilégié.

Il y a des années, c'est aux abords des établissements, regorgeant en effectifs considérables des futures offrandes à l'autel de nos abominables ancêtres, que "La Voiture Noire" venait faire son marché pour le cimetière. Des générations écolières passèrent de vie à trépas pendant cette page sombre de l'histoire nationale...qui attend encore un livre. Ce qui a fonctionné hier refait surface de nos jours avec une nouveauté, à ce qu'il semble d'après le récit tiré d'un drame survenu ces jours-ci aux Trois-Quartiers. Un coup de fil m'a servi d'entendre se plaindre un ami en détresse, préoccupé à l'idée que ses six enfants ne soient plus en sécurité et à l'école et sur le chemin du retour vers la maison. Employé de bureau dans un supermarché de la place, il a participé au milieu des familles du quartier, aux pleurs des parents d'une jeune fille qui a trouvé la mort de façon assez étonnante, et jamais encore vue au Gabon.

Incroyable mais vrai, cette jeune fille, son âge ne dépasse pas 14 ans, qui est l'auteur mourant de cette histoire aux oreilles de ses parents en larmes, raconte qu'à la sortie de son C.E.S, elle traînait les pattes entre la recherche d'un taxi qui lui passait tous devant et des taffes de Marlboro, quand un 4x4, vitres teintées, stoppa à ses pieds. Son chauffeur d'une cinquantaine d'années a fait peu cas de son âge mineur, il lui proposa de lui raccourcir la distance jusqu'aux Trois-Quartiers. La jeune fille y monta et remarqua aussitôt la présence d'un chat assis tout seul aux sièges-arrière. Les pleurnichements du matou noir inclineront la jeune passagère à se renseigner auprès du chauffeur souriant, pourquoi le félin ne s'arrêtait pas de geindre comme s'il avait faim.

Si faim il y avait, le chauffeur répondit à la jeune récitante que "Mon mimi voudrait boire du sein, mais il ne boit que du sein de femme." La jeune fille ne se l'est pas fait répété deux fois, elle se saisit du mystérieux chat, elle se le posa sur les genoux et commença à lui donner le sein, l'un après l'autre. Au bout d'une tournée de ville, elle finit par descendre de voiture, en possession d'une somme importante pliée en boule au creux de ses soutiens-gorges. Elle sentira le soir venu, un retrécissement de ses soutiens-gorges ; le journal télévisé la fera ressentir que sa poitrine prenait du volume. Trois heures du matin la réveillera toute larmoyante, elle souffrait d'un extraordinaire gonflement mammaire. Ses parents n'auront pas le temps de la transporter à l'hôpital, puisqu'elle rendit son dernier souffle en même temps que le dernier mot de son histoire...trop révoltante !

Voilà qui en fait une victime de plus.

Demain et après-demain endeuilleront les pauvres du Gabon au nombre desquels la vie des enfants ne compte pas ; qu'il en crève à l'infini, que le carriérisme politique en fauche par centaines de milliers, que nos très saints ancêtres "Gardiens du Temple" en redemandent à gogo, que "La Terre Sainte" de La Présidence en ait besoin à n'en plus savoir où les planquer sous l'autel aux crânes sacrés, que des marabouts, "nganga", prêtres du christianisme céleste et du vaudou en fixent le prix exorbitant...tant que ces enfants à tuer n'appartiennent pas aux héritiers des "Grandes Familles", le Gabon, comme cette putaine de mère qui s'embellit avec le sang sucré de sa jeunesse, n'aura que foutre y compris de la mauvaise réputation qu'elle renvoie à la communauté internationale.

Alors, Gabon, pompe des gosses et tue-les ! Ce n'est pas un problème pour toi, ma vioque !Tes lits sont féconds, ils remplaceront les morts par des vivants que ta gourmandise meurtrière bouffera, et ainsi de suite ! Quelle superbe manière de se conformer aux recommandations onusiennes de limitation des naissances ! Un enfant né, un enfant mort ! Du grand art ! Un travail d'expert ! Tout ça mérite une médaille, et ça s'arrose, de bousiller son oeuvre ou de "baser" la chair de sa chair, non ? Faut peut-être que cette sssssssssalope nommée Gabon se dépêche d'aller chercher son Nobel de la Paix en Norvège, si mérité, non ?

Auteur : Feu-PDGiste-À-Mort

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