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POUR UN GABON MEILLEUR!
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15 août 2013

GABON: PAS DE CONFÉRENCE NATIONALE, PAS D'ÉLECTIONS!

Depuis le 30 juin 2013, un groupe de militants de l'UNION NATIONALE rencontre des militants, des sympathisants, des citoyens Gabonais pour échanger et renouer avec le Peuple souverain en lui donnant la parole. La 7ème causerie du genre a eu lieu ce 11 août 2013 au quartier ALIBADENG.
 

 ceux de :

 
• l'UNION DES PATRIOTES GABONAIS LOYALISTES (ex UPG Loyalistes) conduits par Adrien IVANGA ADYAYENO.
 
• la SOCIETE CIVILE réunie dans le collectif "ça suffit comme ça" représentée par Marc ONA ESSANGUI, Sosthène NGUEMA NGUEMA et Auguste EYENE.
 
Au cours de cette rencontre, il a été rappelé que le combat de l'UNION NATIONALE prend sa source dans la forfaiture organisée par Ali BONGO ONDIMBA et son clan à l'issue de l'élection présidentielle anticipée de 2009. Que l'objectif essentiel de ce combat est l'alternance démocratique pour laquelle les Gabonais se sont largement prononcés ainsi que la fin de la logique de transmission héréditaire du pouvoir.
 
L'approche politique pour arriver aux objectifs fixés suppose une présence effective et constante sur le terrain et une implantation du Parti sur l'ensemble du territoire. C'est à ce travail que nous nous attelons.
 
Au terme de cette rencontre, le Groupe constitué de : 
 
(1) l'UNION DES PATRIOTES GABONAIS LOYALISTES (ex UPG Loyalistes) ; 
 
(2) la SOCIETE CIVILE réunie au sein du mouvement "ça suffit comme ça" ; et 
 
(3) "NOUS" militants de l’Union Nationale : 
- Francis AUBAME 
- Michel DELBRAH
- Radegonde DJENNO 
- Pr Joseph JOHN-NAMBO 
- Dr Alphonse LOUMA EYOUGHA  
- Fabien MBENG EKOREZOCK 
- Alfred MEMINE ME ZUE 
- Thierry NANG ONDO
- Michel ONGOUNDOU LOUNDAH 
- Jacqueline AUBAME 
- Annie Léa MEYE
- Flavienne ADIAHENOT ainsi que les très nombreux militants de l'UNION NATIONALE, sympathisants, citoyens rencontrés sur le terrain qui partagent cette vision, lançons le mot d'ordre suivant :
 
               PAS DE CONFERENCE NATIONALE SOUVERAINE - PAS D'ELECTION
 
Au regard des nombreux atermoiements de la classe politique Gabonaise et en l'absence d'avancée démocratique significative, il ressort de l'ensemble des causeries organisées jusque là, la problématique des élections locales en ces termes :
 
1/ Les élections locales prochaines sont organisées quasi unilatéralement par un pouvoir illégal et illégitime qui a dissout l'UNION NATIONALE et ce pouvoir ne le reconnaît pas en conséquence. De ce fait, en toute logique, l'UNION NATIONALE ne peut pas prendre part aux prochaines élections locales. D'où les questions suivantes : 
 
- Sous quelle bannière des militants de ce parti dissous iraient-ils donc à cette échéance ? En "indépendant" ? Sous le label de l'UFA ou d'autres partis ? 
 
- S'agit-il d'un renoncement ? 
 
- Quel effet utile pour l'alternance ?
 
2 / En quoi la gestion des municipalités et collectivités locales par des partis d'opposition a-t-elle contribué à changer les choses de notre pays sous le régime PDG ?
 
En 2011, l'opposition avait lancé le mot d'ordre "PAS DE BIOMETRIE - PAS DE TRANSPARENCE - PAS D'ELECTION." Qu'est ce qui a changé depuis lors ?
 
Aujourd'hui la TRANSPARENCE n'est toujours pas de mise. Le pouvoir PDG et ses alliés visibles et invisibles mettent en œuvre une "biométrie biaisée" qui n'offre par la garantie de l'interconnexion et l'identification de l'électeur dans le bureau de vote. 
 
Au cours de cette causerie, il a même été révélé avec preuves à l'appui, de nombreux cas d'enrôlement multiples par un même individu. En quoi cette biométrie-la sert-elle la démocratie que nous appelons de tous nos voeux ?
 
Est-il besoin d'aller à une énième élection pour se convaincre du caractère fondamentalement fraudeur du pouvoir PDG qui ne cesse d'être contesté sur ce point depuis 1990 ?
 
Les conditions de TRANSPARENCE ne sont pas réunies et les acteurs de l'opacité sont toujours aux commandes. Les mêmes causes entraînant les mêmes effets l'élection est déjà faite, les résultats se trouvent dans les coffres émergents du PDG et de ses alliés d'hier, d'aujourd'hui et de demain.
 
Au demeurant, prendre part aux élections locales dans ces conditions malgré les quelques réserves de circonstances, c'est cautionner le pouvoir illégal et illégitime d'Ali BONGO ONDIMBA et approuver du même coup la fraude massive qui se prépare pour la présidentielle de 2016. 
 
Pourra-t-on dire alors, après coup, qu'on ne savait pas ?
Source: CDG
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