GABON : Affaire Ondo Ossa - Agression politique ou règlement de compte entre enseignants de l'Université Omar Bongo

La tentative d'assassinat dont a été victime le Professeur Albert Ondo Ossa soulève de multiples interrogations mais une nouvelle origine de ladite agression se fait jour dans Libreville notamment dans le milieu universitaire gabonais.  

  

On se rappelle du jour où l'on a annoncé la sauvage agression dont a été victime il y a quelques semaines le Professeur d'économie Albert Ondo Ossa, poignardé sauvagement, qui sera très rapidement interné dans une structure hospitalière de la place. Une majorité de la population y a vu une agression fomentée par des adversaires politiques du fait du rapprochement d'Albert Ondo Ossa avec le nouvel opposant "Jean Ping". Mais à côté de cela, une nouvelle rumeur se fait peu à peu jour et prend corps de jour en jour en milieu universitaire où il se raconte désormais parmi les étudiants et enseignants que cette agression du Professeur Albert Ondo Ossa aurait été fomentée par le doyen de la Faculté de Droit et des Sciences économiques nommé jean claude james.  
  En effet, il se dit que jean claude james accusait ouvertement le Professeur Albert Ondo Ossa d'instrumentaliser les étudiants contre lui et que finalement il aurait fini par haïr le Professeur Albert Ondo Ossa au point de vouloir se venger en organisant son agression à coup de poignard telle une histoire de Gangsters de films hollywoodiens.  
  Le paradoxe est que jean claude james qui se dit juriste n'aurait jamais eu de preuves de ses allégations contre le professeur Ondo Ossa et se contentait de l'accuser de la sorte auprès de qui voulait l'entendre et plein de haine d'après certaines sources.  
  Mais à bien y observer, les deux rumeurs ne sont pas du tout opposées et on y trouverait bien au contraire un lien étroit entre elles, car depuis le commencement de la révolte estudiantine contre jean claude james qui a abouti au gel des cours jusqu'à présent, l'on se rend compte que le gouvernement gabonais ainsi que le Président gabonais n'ont montré jusqu'à lors aucune volonté de régler la crise universitaire, on observe également que le Syndicat National de Enseignants Chercheurs ( SNEC ) n'a pas pris fait et cause pour le Professeur Albert Ondo Ossa, ce syndicat n'a procédé à aucune déclaration de solidarité envers leur collègue enseignant sauvagement poignardé, par contre ce même syndicat d'enseignants a pris officiellement fait et cause pour doyen de la FDSE "jean claude james" lorsque celui-ci a été chassé de la faculté par la communauté estudiantine qui demande son départ pure et simple suite à des exclusions arbitraires d'étudiants orchestrées par cet individu.  
On se demande alors qui est instrumentalisé, les étudiants qui manifestent légitimement ? ou alors le SNEC qui reste insensible à l'agression dont a été victime leur collègue " Pr. Albert Ondo Ossa" ?   On peut dès lors établir le lien suivant lequel les autorités gouvernementales  ont donné quitus à  jean claude james pour régler ses comptes avec le Pr. Albert Ondo Ossa car la disparition de ce dernier les aurait tous arranger tant au plan politique pour le Gouvernement qu'académique pour jean claude james. Mais le Seigneur DIEU Tout Puissant veillant au grain a décidé que cela ne se ferait pas et il est maintenant à observer la suite des évènements.  
  Il n'est pas question de tolérer de telles agissements de la part d'un soit disant enseignant à l'égard d'un autre enseignant ou d'un étudiant ou d'une tout autre personne. Ce sont des comportement envers lesquels le niveau de tolérance est zéro et les étudiants qui manifestent légitimement pour le rétablissement de leur droit à étudier ne doivent nullement lâcher prise et se tenir tous prêts et prêtes, car les étudiantes doivent aider leurs frères étudiants sur le terrain, à neutraliser et mettre hors d'état de nuire ce doyen jean claude james qui n'a que trop foutu le bordel et a franchi la ligne de non retour en organisant l'agression du Pr. Albert Ondo Ossa.  

Source : LVDPG

Comments

[yannick70]

Et Monsieurs les journalistes vous avez des preuves de ce que vous avancer on veux les voir.