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POUR UN GABON MEILLEUR!
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25 janvier 2015

GABON : IL EST IMPORTANT DE BRAQUER LES PROJECTEURS SUR LA BARBARIE DE CEUX QUI PRÉTENDENT GOUVERNER LE GABON

 

 

Les étudiants torturés
(Image: MD)
La famille de Bruno Mboulou Beka vient de porter plainte à une série de membres du régime Ali Bongo ; notamment: Ernest Mpouhot, le Ministre de La Défense ; Guy Bertrand Mapangou, le Ministre de l'intérieur ; Sidonie Flore Ouwé, le Procureur de la République ; et le Docteur Pemba, Médecin Légiste. C’est une très bonne chose. Le procès des étudiants récemment arrêtés et incarcérés vient aussi de donner l’occasion à leurs avocats d’informer le public sur les atrocités qu’ont subi ces vaillants étudiants aux mains des tortionnaires du pouvoir.
Chers lecteurs, les dictatures se croient intouchables et les tenants du pouvoir en dictature estiment qu’ils ne paieront jamais pour leurs forfaits. Voilà pourquoi ils torturent et tuent les gens avec insouciance. Mais il nous appartient à tous de documenter leurs méfaits, car toutes les dictatures finissent par tomber et il est essentiel de faire payer les coupables d’une manière ou d’une autre, comme cela s’est vu ailleurs.
Les seuls à pratiquer régulièrement au Gabon, la torture contre le peuple innocent, sont bien sûr les membres du régime. Face à leurs agissements, nous devons imposer la vérité, toute la vérité, contre le mensonge, la déformation et toutes leurs tentatives d’enfumage. Evidemment, certains diront que la justice au Gabon est aux ordres et qu’il ne serve à rien de leur porter plainte. Mais ce blog est d’avis que ces plaintes constituent une documentation essentielle pour le futur, car un jour, le peuple sera en mesure de se faire justice et de faire payer à ces gens toutes les exactions commises; que ce soit les emprisonnements, les liquidation physiques, les tortures etc. Si jusqu'à présent il y a impunité au Gabon, cette impunité ne sera pas éternelle.
Il faut que les Gabonais, en particulier les générations montantes, s’imprègnent des atrocités commises par les hordes pouvoiristes. Les Gabonais doivent connaître les péripéties des agissements du régime et leurs conséquences indélébiles sur les populations passées, contemporaines et futures. Le travail de documentation doit être de tous les instants ; par exemple, en 2009, quand Luc Bengono-Nsi avait déposé son recours à la Cour Constitutionnelle, nombreux étaient les supporters du régime qui rigolaient, se disant que Mborantsuo allait déchirer ce recours et mettre les morceaux à la poubelle, chose qu’elle fit d’ailleurs. Mais aujourd’hui, où en sommes-nous ? C’est grâce à ce recours que le faux acte de naissance d’Ali Bongo a pu être rendu public et c’est grâce à ce recours que tout le monde a commencé à réaliser quel faussaire était Ali Bongo ; et c’est sur ce recours que s’est appuyé Pierre Péan pour étoffer son livre et mondialiser la forfaiture d’Ali Bongo. Chers lecteurs, nous devons une fière chandelle à Luc Bengono Nsi et espérons que lorsque l’histoire de la libération du Gabon sera écrite, on lui réservera un chapitre.
La fresque de tortures, de brimades, de meurtre, de malversation, réalisée depuis plus de 47 années déjà par ce régime, continue de s’élargir. A chaque fois qu’un Gabonais est violenté, documentons cela. A chaque fois que les libertés fondamentales sont transgressées, documentons cela. Le régime Ali Bongo, comme toutes les dictatures, est plus fragile qu’on ne le pense et veut se donner des aires de solidité en poussant la répression à son paroxysme. Un régime qui a peur que la population marche pacifiquement pour demander l’arrêt des crimes rituels, n’est pas fort, il est faible. Un régime qui a peur que la population marche pacifiquement pour demander plus de liberté et de bonne gouvernance, n’est pas fort, il est faible. Un régime qui a peur que des citoyens puissent voyager librement, n’est pas fort, il est faible. Un régime qui a peur que Maitre paulette Oyane Ondo se rende aux Etats-Unis pour une conférence, n’est pas fort, il est faible. Un régime qui a peur que Jonas Moulenda et Désiré Ename informent les Gabonais, n’est pas fort, il est faible.
Ceux qui prétendent à l’émancipation des Gabonais s’avèrent être les plus grands tortionnaires du peuple et les assassins de la mémoire collective du pays. Les Gabonais doivent cesser d’être des témoins muets des horreurs qu’ils subissent. Nous devons renvoyer au régime l’image hideuse de ses agissements. Il faut que le régime sache qu’un jour, il paiera !
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Commentaires
D
PAUL BIYA OBTIENT UNE VISITE FRANCAISE QU'IL QUEMANDE DEPUIS<br /> <br /> LES ANNEES 2000, DATE DES ELECTIONS NEOCOLONIALES A UN TOUR<br /> <br /> OU TOUS LES CHEFS TRADITIONNELS,MEMBRES DU PARTI UNIQUE NEO-<br /> <br /> COLONIAL,BOURRENT QUANTITES D'URNES QU'ILS GARDENT A DOMICILE<br /> <br /> ET LES TRANSPORTENT AU BUREAU DES DECOMPTES, SOUS DES AP-<br /> <br /> PLAUDISSEMENTS NOURRIS DE TOUTE UNE CLIQUE DE VIEUX CHIM-<br /> <br /> PANZES DU PARTI UNIQUE NEOCOLONIAL.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Cameroun - vote de la diaspora: un front uni pour le boycott de la mascarade electorale a vu le jour!<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> PrevNext<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Commentaires sur Le Conseil National pour la Résistance - Mouvement Umnyobiste (CNR-MUN) soutient l'UPC<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Alors que toute la France insulte et brocarde continuellement les méthodes <br /> <br /> gouvernementales du néocolonialisme au Cameroun :tricheries électorales <br /> <br /> permanentes,élections néocoloniales à un tour ,Elecam néocolonial où la <br /> <br /> loi électorale est plutôt une disposition personnelle au service des victoires <br /> <br /> trichées du néocolonialisme,corruption,vols monstrueux,prisons bondées où <br /> <br /> même celui déjà libéré resterait encore enfermé des années et des années, <br /> <br /> eh bien... Le Cameroun vient de quémander une visite française. M. Hollande <br /> <br /> lui concède donc environ quatre heures. Il n'en fallait pas plus pour que "Ca- <br /> <br /> meroon Tribune" s'enflamme. Sur les premières pages,on farde les photos <br /> <br /> de "deux Chefs d'Etat". Deux "homologues": l'un est le produit des tricheries <br /> <br /> permanentes.La France reconnaît d'ailleurs elle-même que les victoires de la <br /> <br /> tricherie ne rendraient que "illégitime" un système. L'autre passe par les vraies <br /> <br /> élections. Etrange affichage de deux "homologues".A la dernière visite que <br /> <br /> force Paul Biya en France, celui qui devient soudainement son "homologue" <br /> <br /> ne s'est même pas déplacé.A l'aéroport,c'est l'Ambassadeur du Cameroun <br /> <br /> à Paris,et celui français au Cameroun,qui reçoivent à Roissy les tricheurs qui <br /> <br /> débarquaient du Cameroun..... Comme avec un bâton magique,Cameroun <br /> <br /> Tribune lisse toutes les divergences que voilà,ne maintenant que les simi- <br /> <br /> tudes de vue entre les "homologues". Lisons le billet de Cameroun Tribune, <br /> <br /> 1 Juillet 2015: <br /> <br /> François Hollande en visite d'Etat vendredi au Cameroun , par Jean-Marie <br /> <br /> Nzekoué ,Cameroon Tribune <br /> <br /> Paul-Biya-Francois-HollandeLa visite du président français au Cameroun est une opportunité à saisir pour revisiter la coopération bilatérale et renforcer le partenariat stratégique entre les deux pays. <br /> <br /> Les relations entre le Cameroun et la France sont à la fois anciennes et multiformes.. <br /> <br /> Sur le plan formel, la coopération bilatérale remonte à l’accession de notre pays à la souveraineté internationale en 1960. Depuis lors, les liens se sont raffermis et diversifiés à travers la politique, le commerce, l’investissement, des visites au plus haut niveau, le dialogue permanent sur des sujets d’intérêt commun. Ce partenariat est ancré sur un faisceau dense de paramètres liés à l’histoire, à l’économie, aux nombreuses connections culturelles, sans oublier la dimension diplomatique qui sert de moteur aux relations internationales. Sur le plan historique, la relation bientôt centenaire, s’est beaucoup consolidée, malgré les vicissitudes du passé. On ne s’étendra pas davantage sur le rôle de pionnier joué au milieu du siècle dernier par quelques ressortissants français de renom dans des domaines comme l’éducation, la santé ou l’aménagement du territoire. La multiplicité et la densité des contacts à tous les niveaux et dans tous les domaines ont fini par élever la coopération franco-camerounaise au rang de partenariat stratégique, avec des ramifications sur les plans politique, économique, sécuritaire, diplomatique, etc. <br /> <br /> Au regard de la configuration de leurs économies et de leur niveau de développement respectifs, les deux pays ont des raisons objectives pour renforcer un partenariat qui tire largement profit des facteurs liés à la compétitivité et à la complémentarité. Du fait de sa position exceptionnelle au fond du Golfe de Guinée, le Cameroun est la porte d’entrée vers les marchés du Tchad, de la RCA, voire du Congo. Avec 35% du PIB de la sous-région, il dispose de nombreux atouts pour séduire les investisseurs : ressources agricoles, pétrolières et minières, main d’œuvre dynamique et bon marché, environnement fiscal incitatif, etc. La croissance qui avoisine les 5% traduit un regain d’activités tiré par le lancement des grands projets d’infrastructures. Le Cameroun reste le premier partenaire économique de la France en Afrique centrale hors pétrole. En 2013, les échanges franco-camerounais ont connu un accroissement de 4,8 %, mais la marge de progression reste grande. En dehors des hydrocarbures, les exportations sont constituées principalement des fruits (banane), du cacao et de ses dérivés. A l’inverse, le Cameroun importe principalement des produits agricoles, des produits pharmaceutiques, des machines industrielles et du matériel informatique. Puissance industrielle et financière de premier plan, la France dispose de la technologie et des capitaux pour accroître sa présence économique et améliorer ses parts de marché. Bien qu’étant toujours le premier investisseur au Cameroun, la France s’est fait damer le pion, au niveau commercial, par le Nigeria et doit faire face à l’offensive chinoise. Ceci dit, le partenariat économique reste dynamique. La présence française est visible avec plus d’une centaine de filiales d’entreprises et environ 200 entreprises appartenant à des ressortissants français et employant plus de 30.000 Camerounais. Des noms comme Bolloré Logistics, Castel, CFAO, Cimencam, Sgbc, Orange, Razel, Total, font depuis toujours partie du paysage. Sur un tout autre plan, le Contrat de désendettement et de développement (C2D) s’est révélé un outil innovant de la coopération franco-camerounaise. A ce jour, il a déjà permis le financement de nombreux projets dans l’agriculture, la santé, l’éducation, l’environnement, les infrastructures urbaines et routières, la formation professionnelle. <br /> <br /> Sur le plan politique, l’avancée est tout aussi remarquable. Il existe un dialogue actif au niveau des gouvernements, mais aussi à travers des nombreuses missions d’échanges interparlementaires. Au cours des trente dernières années, trois chefs d’Etat français ont foulé le sol camerounais alors que le président Paul Biya a effectué plus d’une dizaine de déplacements officiels en France. Parmi les plus récentes visites des personnalités françaises au Cameroun, on peut mentionner celles du président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, du ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, du ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve. Sur le plan diplomatique, les deux pays coopèrent étroitement. Les positions de Paris et de Yaoundé sont globalement similaires sur les grands sujets de l’actualité stratégique internationale. Qu’il s’agisse du combat contre le terrorisme dans la zone sahélienne, de la lutte contre l’insécurité maritime ou des stratégies concertées pour mettre hors d’état de nuire la secte Boko Haram. Par ailleurs, l’appui du Cameroun a toujours été précieux à la France lors des délibérations au niveau du Conseil de sécurité des Nations unies. Par la voix de son ministre des Affaires étrangères, la France a, maintes fois, réaffirmé son « engagement aux côtés du Cameroun » pour combattre les djihadistes, tout en promettant son soutien au niveau du Conseil de sécurité en vue du déploiement d’une force interafricaine. Partant du principe que le partenariat économique a besoin de paix et de sécurité, la France et le Cameroun ont renforcé leur coopération militaire, notamment avec les accords de partenariat de défense signés le 21 mai 2009 à Yaoundé. Au plan culturel, les deux pays sont membres de la Francophonie et mènent dans cette instance une coopération active dans les domaines de l’éducation, de la formation, de la promotion de la jeunesse ou du développement durable. Fondée sur le cœur et la raison, l’alliance franco-camerounaise est appelée à évoluer pour s’adapter aux mutations de l’environnement international et aux exigences de la mondialisation triomphante qui fait du multilatéralisme et de la concurrence des données incontournables dans les relations entre Etats. Au-delà de certaines contingences, il faut regarder vers l’avenir, explorer des nouvelles niches d’opportunités en vue de booster les échanges et le flux d’investissements pour franchir un nouveau cap. Dans les prochaines années, l’intérêt réciproque commande de diversifier le dialogue entre les élites politiques, les acteurs de la société civile et les opérateurs économiques. Pour ne pas donner l’impression qu’il s’agit d’un partenariat à sens unique, les deux pays gagneraient à favoriser une présence économique réciproque sur leur sol. En dépit de quelques soubresauts, le partenariat stratégique entre le Cameroun et la France est appelé à se consolider, en ouvrant des nouvelles perspectives pour l’avenir.paul-biya-francois-hollande.<br /> <br /> <br /> <br /> Posté par Dr NJOH ELOMBO, il y a une heure | Recommander | Répondre<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> l
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A TOUS LES PROGRESSISTES QUI REVENT DE LA LIQUIDATION DEFINITIVE DU NEOCOLONIALISME SUR NOS PAYS EN AFRIQUE<br /> <br /> NOIRE FRANCOPHONE: CI-DESSOUS, VOICI COMMENT NOUS FI-<br /> <br /> NISSONS SOUVENT: COMME MBA OBAME !!!<br /> <br /> Gabon Gabon : l'union nationale annonce la mort de l'opposant André Mba Obame <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> L'opposant Mba Obame, l'un des leaders de l'opposition gabonaise est décédé ce jour au Gabon d'après les informations diffusées par l'Union nationale, l'un des partis de l'opposition. <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Membre fondateur de l'Union nationale André Mba Obame est décédé à 58 ans en fin de matinée à Yaoundé au Cameroun. Celui qui occupait le poste de Secretaire exécutif de l'Union nationale avait quitté le Gabon en 2013 pour le Niger, plus précisément à Niamey où il suivait des soins.<br /> <br /> <br /> <br /> Il devait d'après ses proches se rendre ensuite en Afrique du Sud pour terminer sa thérapie. Il a malheureusement trouvé la mort à Yaoundé, dernière étape vers l'Afrique du Sud. Pourchassé par le régime après les évenements de 2013, celui qui a été le grand challenger d'Ali Bongo à la mort de son père, nourrissait le rêve de rentrer dans son pays pour chasser la famille actuelle du pouvoir. Ses soutiens au Gabon avaient longtemps espéré son retour dans le pays. Nous disons donc<br /> <br /> ceci encore une fois: bravo au néocolonialisme !!!<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> L'information a été confirmée sur Twitter par le vice-président de l'union nationale Jean Pierre Rougou.<br /> <br /> Date: Dimanche 12 Avril 2015
L
Ou va la vie Estudiantine du Gabon?
POUR UN GABON MEILLEUR!
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