L'INTERNAUTE DELL RÉAGIT AU DISCOURS DE MME CLINTON À LA CONFÉRENCE ANNUELLE DU GROUPE DE L'AGOA À LUZAKA (ZAMBIE)

L'Afrique n'a pas besoin de donneurs de leçons. Les leçons des uns, les leçons des autres l'ont tellement aliénée qu'aujourd'hui elle se trouve à une croisée de routes où elle doit choisir, toute seule,la voix de son propre développement, culturel, économique et politique.
La Chine qui, aujourd'hui, fait peur à toutes les grandes puissances de ce monde, n'avait de leçons à recevoir de personne pour conquérir l'espace, la dimension économique qui est la sienne à l'heure actuelle.
Ce pays s'est forgé son mode de développement basé sur le travail et non sur la religion car, comme le disait MAO, la religion, c'est l'opium du peuple.
Tant que les Africains continueront à se faire bercer et berner par la religion importée, dont ils ne détiennent les tenants ni les aboutissants, ils contribueront au maintien en immersion du continent, et donneront l'occasion à des gens comme Hilary Clinton de venir nous materner après avoir dit que le Président GBAGBO devait quitter le pouvoir. Si Hilary et toutes les instances internationales n'oeuvraient pas pour leurs intérêts égoïstes, la licorne et l'onuci n'auraient pas causé de milliers de morts en Côte d'ivoire sans oublier les souffrances volontaires infligées au peuple frère libyen par l'OTAN avec l'appui frénétique des pays comme la France, les Etats-Unis qui veulent supprimer le Colonel Khadafi, Digne fils d'Afrique, Panafricaniste convaincu et militant, dans le seul et unique but de faire main basse sur les colossaux investissements des fonds libyens.
Toutes ces puissances qui, aujourd'hui, veulent nous caresser dans le sens des poils, ne visent qu'une seule chose, les richesses du sous-sol africain et rien d'autre. A elles, nous dirons qu'elles aillent au diable. De même, nous n'oublierons pas nos traitres africains à la tête malheureusement de certains états africains, en l'occurrence le Doyen d' âge, Wade, cette momie, qui a l'outrecuidance de demander à Khadafi de céder le pouvoir à la rébellion montée de toute pièce par les ennemis de l'Afrique. A ces traitres africains, complices des massacres, des viols, des souffrances et désolations en Afrique, nous devons créer notre Tribunal Pénal Africain pour les juger conformément aux graves délits encourus.
Frères Africains, il n'est jamais tard pour mieux faire. Rendons à tous ces néo-colons et leurs sbires africains les pièces de leur monnaie, aux coups reçus, nous répondrons par des coups. Le temps est venu pour nous de ne plus tendre l'autre joue car nous devons gagner en respect et en dignité. Merci.

Auteur: Internaute DELL     

Comments

[Dr Njoh Elombo]

Mot à mot,on peut à présent dire que Mme
Hilary Clinton Rodham ne comprend rien au
fonctionnement du monde franco-africain subsaharien,encore moins aux objectifs réels
du texte de l'AGOA, une disposition pourtant
mise sur pied par les Démocrates. Si Hilary
comprenait ne serait-ce que très très peu
au sujet des subtilités techniques du texte
de l'AGOA, jamais et jamais la diplomatie
américaine n'aurait été en phase avec les
manigancements du gouvernement français et du
CIAN-MEDEF AFRIQUE,qui ont conduit au bombar-
dement du Palais du Plateau à Abidjan le 11
Avril 2011 par la Françafrique. Jamais !! La
pauvre !!!...