28 juin 2011
MES CONDOLÉANCES À SON EXCELLENCE L.K. GBAGBO, PRÉSIDENT LÉGAL ET LÉGITIME DE CÔTE-D'IVOIRE
Cote Ivoire : Décès de la mère du Président Gbagbo
“Devant les cheveux blancs tu te lèveras, et tu honoreras la personne du vieillard” (Lévitique 19:32)
Je viens de lire incidemment dans des articles et sur des forums que la mère du Président Gbagbo est décédée le 15 juin au Ghana. A SEM Laurent Gbagbo, illégalement et injustement privé de sa liberté, d'innombrables Ivoiriens ont à cœur de présenter toutes leurs affectueuses condoléances.
Rappelez-vous (voir ici article-ouattara-fait-arreter-et-transporter-la-mere-du-p...), elle avait été arrêtée en même temps que le reste de la famille après les bombardements intensifs et constants du palais présidentiel par notre Licorne de la paix, la semaine précédant ce noir jour du 11 avril 2011.
Ce jour là, les termes démocratie ivoirienne, constitution ivoirienne ont perdu leur sens. Le président Sarkozy, nouvel académicien spécialisé “ès ingérence humanitaire”, impose de nouvelles lois, un nouveau droit, et tel un apprenti sorcier, sûr de lui, il voit après trois mois d’impensable chaos qu’il n’a pas misé sur un bon cheval !
Sarkozy ne pensait certainement pas que cette “reddition” de Gbagbo serait si longue, si douloureuse : plus de 150 morts après l’anéantissement du palais et l’arrestation du “clan” Gbagbo; famille, amis, collaborateurs, débusqués à coup de bombes françaises puis livrés lâchement aux “bons ivoiriens ”d’Ado-solution, embarqués manu militari à l’hôtel du golf, l’hôtel-prison et quartier de jour du nouveau gouvernement installé par la France.
Il est presque impossible de trouver des détails sur cette dame très âgée, madame Koudou Gbagbo, âgée de plus de 90 ans -92, ai-je lu une fois-, et à qui rien n’a été épargné. Selon certaines sources, son arrestation ne s’est pas faite en douceur, et c’est probablement très discrètement qu’elle a été “libérée”, sachant que ses jours étaient comptés.
L’humiliation subie par les siens, le stress des bombardements, puis l’arrestation et les probables mauvais traitements signalés par des témoins, au moment de l’arrestation ont du grignoter son capital santé et sa force de vivre. Elle se trouvait semble-t-il, réfugiée au Ghana, car toutes les résidences ivoiriennes du couple présidentiel et de leurs proches ont été méticuleusement pillées et saccagées, visitées plusieurs fois par les nouveaux représentants de l’ordre ivoirien, les fameux FRCI-Dozo, que Ouattara ne contrôle toujours pas, malgré ses promesses, et sa réconciliation en marche !
Les médias ont bien caché ce décès, et malgré les plus de 1200 “articles”ou occurrences sur le sujet qui apparaissent dans le référencement Google, il n’y a rien ! Bravo les nouveaux révisionnistes : il n’y a jamais eu de vieille dame, mère d’un président d’État démocratique et en exercice, puisque Laurent Gbagbo n’a jamais démissionné, – emprisonnée, exilée puis décédée à l’étranger des suites du 11 avril !
Après la mort fantôme du professeur Philippe Reymond, le silence sur la mort honteuse du ministre Désiré Tagro, voici la mort fantôme de madame Gbagbo mère, pour que Ouattara puisse continuer de jouer au Monopoly présidentiel, et acheter à crédit, vendre pour un franc symbolique les richesses du pays, s’endetter, pardon, endetter la Côte d’ivoire pour de longues années ...
Mais attention aux mauvaises cartes : Ouattara ne peut indéfiniment ouvrir seulement les cartes “chance” distribuées par la France, il faut des résultats, maintenant ! La “communauté internationale” est impatiente de prouver rapidement au monde que “son choix” est celui des ivoiriens, que les méchants seront punis par la très sérieuse CPI, et que l’avenir radieux auquel les ivoiriens virtuels du tandem Sarkozy –Ouattara aspirent est encore à portée demain !
Attention Ouattara, plus le temps passe, plus les cartes "chance" s’épuisent, et la case “prison” se présentera peut-être plus tôt que prévu !
Auteur: Shlomit
Je viens de lire incidemment dans des articles et sur des forums que la mère du Président Gbagbo est décédée le 15 juin au Ghana. A SEM Laurent Gbagbo, illégalement et injustement privé de sa liberté, d'innombrables Ivoiriens ont à cœur de présenter toutes leurs affectueuses condoléances.
Rappelez-vous (voir ici article-ouattara-fait-arreter-et-transporter-la-mere-du-p...), elle avait été arrêtée en même temps que le reste de la famille après les bombardements intensifs et constants du palais présidentiel par notre Licorne de la paix, la semaine précédant ce noir jour du 11 avril 2011.
Ce jour là, les termes démocratie ivoirienne, constitution ivoirienne ont perdu leur sens. Le président Sarkozy, nouvel académicien spécialisé “ès ingérence humanitaire”, impose de nouvelles lois, un nouveau droit, et tel un apprenti sorcier, sûr de lui, il voit après trois mois d’impensable chaos qu’il n’a pas misé sur un bon cheval !
Sarkozy ne pensait certainement pas que cette “reddition” de Gbagbo serait si longue, si douloureuse : plus de 150 morts après l’anéantissement du palais et l’arrestation du “clan” Gbagbo; famille, amis, collaborateurs, débusqués à coup de bombes françaises puis livrés lâchement aux “bons ivoiriens ”d’Ado-solution, embarqués manu militari à l’hôtel du golf, l’hôtel-prison et quartier de jour du nouveau gouvernement installé par la France.
Il est presque impossible de trouver des détails sur cette dame très âgée, madame Koudou Gbagbo, âgée de plus de 90 ans -92, ai-je lu une fois-, et à qui rien n’a été épargné. Selon certaines sources, son arrestation ne s’est pas faite en douceur, et c’est probablement très discrètement qu’elle a été “libérée”, sachant que ses jours étaient comptés.
L’humiliation subie par les siens, le stress des bombardements, puis l’arrestation et les probables mauvais traitements signalés par des témoins, au moment de l’arrestation ont du grignoter son capital santé et sa force de vivre. Elle se trouvait semble-t-il, réfugiée au Ghana, car toutes les résidences ivoiriennes du couple présidentiel et de leurs proches ont été méticuleusement pillées et saccagées, visitées plusieurs fois par les nouveaux représentants de l’ordre ivoirien, les fameux FRCI-Dozo, que Ouattara ne contrôle toujours pas, malgré ses promesses, et sa réconciliation en marche !
Les médias ont bien caché ce décès, et malgré les plus de 1200 “articles”ou occurrences sur le sujet qui apparaissent dans le référencement Google, il n’y a rien ! Bravo les nouveaux révisionnistes : il n’y a jamais eu de vieille dame, mère d’un président d’État démocratique et en exercice, puisque Laurent Gbagbo n’a jamais démissionné, – emprisonnée, exilée puis décédée à l’étranger des suites du 11 avril !
Après la mort fantôme du professeur Philippe Reymond, le silence sur la mort honteuse du ministre Désiré Tagro, voici la mort fantôme de madame Gbagbo mère, pour que Ouattara puisse continuer de jouer au Monopoly présidentiel, et acheter à crédit, vendre pour un franc symbolique les richesses du pays, s’endetter, pardon, endetter la Côte d’ivoire pour de longues années ...
Mais attention aux mauvaises cartes : Ouattara ne peut indéfiniment ouvrir seulement les cartes “chance” distribuées par la France, il faut des résultats, maintenant ! La “communauté internationale” est impatiente de prouver rapidement au monde que “son choix” est celui des ivoiriens, que les méchants seront punis par la très sérieuse CPI, et que l’avenir radieux auquel les ivoiriens virtuels du tandem Sarkozy –Ouattara aspirent est encore à portée demain !
Attention Ouattara, plus le temps passe, plus les cartes "chance" s’épuisent, et la case “prison” se présentera peut-être plus tôt que prévu !
Auteur: Shlomit
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