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POUR UN GABON MEILLEUR!
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22 octobre 2012

Les Fraters de l'UFC devraient publiquement démissionner de la Franc-maçonnerie placée sous la vénération d'A. Bongo 9%

L'UFC porte en son nom la promesse eschatologique de "Changer le Gabon". Telle initiative est plutôt bienvenue, en l'état actuel de notre démocratie, pour ne pas dire notre "Démoncratie" ! Ce changement, nous sommes un nombre conséquent et grandissant à le souhaiter vivement ! Nous sommes surtout conscients que ce changement qui traîne les pas, ne peut advenir si l'UFC continue d'entretenir des liens troubles avec ceux qu'ils désignent comme les ennemis de la République.
Les Fraters de l'UFC devraient publiquement démissionner de la Franc-maçonnerie placée sous la vénération au Grand Maître National Ali Bongo

Nous savons que notre classe politique est composée à presque 100%, de "Francs-maçons", et qu'à ce titre, l'UFC ne peut pas être juge et partie !!!

Je voudrais attirer l'attention de tous sur un fait curieux. J'ai à nouveau épluché les lignes argumentaires ayant pour ultime objectif de réclamer au pouvoir, une Conférence Nationale Souveraine. J'ai prêté une oreille attentive aux allocutions des membres de l'Union des Forces du Changement, et considéré à profit leurs positions défendues. J'ai relu ici sur ce site, les différentes prises de position, empruntées à ses figures de proue. Eh ben ! Croyez-moi : je n'y ai lu aucune allusion de près ou de loin à la vieille collaboration de la Franc-maçonnerie dans l'appauvrissement du peuple gabonais ! Même le GABONOSCOPE garde là-dessus un silence on ne peut plus suspect ! C'est à croire qu'on fuit comme de la peste, le sujet, à l'UFC. Or tous les problèmes que nous connaissons aujourd'hui, viennent de là.

Pasteur Ernest Tomo a vendu la mèche : en ne "considérant" personne d'entre les profanes que nous sommes pour les 4/5ème de la population gabonaise, les Francs-maçons ont depuis le 12 mars 1968, entrepris secrètement de nous priver de notre pays. Si Léon Mba ne s'entourait que de Bwitistes (Prince Birinda, Prince Adandet-Rapotchombo, Paul-Marie Yembit, etc.), son successeur débutera son record de longévité à la présidence, en sollicitant la complicité de toute la classe politique afin que la nouvelle "Constitution maçonnique" (compatible avec nos croyances animistes) qu'ils venaient de rédiger à Koula-Moutou, prenne le dessus sur la "Constitution gabonaise".

En conséquence de quoi, l'avenir du Gabon dépend jusqu'aujourd'hui, des "Travaux" en loge. Si bien que rien de ce qui est fait en dehors des loges, ne peut se faire sans d'abord avoir été soumis "à la question" (c'est-à-dire "débattu") en loge. De la sorte un chef d'Etat gabonais, plébiscité ou élu, prête serment avant tout devant ses "frères", à l'abri des regards profanes. Ce n'est qu'après cette reconnaissance "fraternelle", que plus tard les ors publics de La République, le reçoivent "président du Gabon". En témoigne la vidéo d'investiture de M. Ali Bongo.

Regardons encore ces images. Nous y voyons se jouer le rituel antidémocratique d'accaparement et de confiscation de la souveraineté des Gabonais par un "Clan" qui a réussi à se créer un ETAT DANS UN ETAT. Nous observons qu'un M. François Stifani, avocat français (donc il n'est pas de chez nous !), préside une "Assemblée Générale de la Grande Loge Nationale du Gabon". Où ça ? Dans les murs de La Présidence ! Elle est privée, cette cérémonie, nous ont dit les "Francs-ma-cons". Mais alors pourquoi et en vertu de quel texte des lois de notre pays, une cérémonie "qui ne concerne pas tous les Gabonais" se déroulerait-elle à l'intérieur d'un haut-lieu, d'un symbole aussi fort de l'Exécutif national ?

Nous sommes même en droit de nous demander pour quelles raisons "constitutionnelles", le futur président de la République (puisqu'il aurait été élu à la suite des dernières présidentielles d'août 2009 !) s'agenouillerait-il devant une "Bible" ouverte à une page de l'Evangile selon Saint-Jean ? Où est-il écrit dans les textes qui régissent notre pays, que préalablement à son investiture officielle, le chef de l'Exécutif doit-il sacrifier à un rituel organisé hors caméras de télévision ? Ou bien existe-t-il, au Gabon, des "choses" que les Gabonais qui se choisissent lequel parmi eux en sera le chef, ne "doivent pas savoir" ? C'est quoi cette histoire ?

Nous pouvons faire une deuxième observation à propos des mots prononcés par le "président élu du Gabon". Nous écoutons que celui-ci, sur injonction d'un Blanc étranger au Gabon, assis à un trône et muni d'un marteau, "jure de servir les intérêts de la Franc-maçonnerie en général, et de cette loge en particulier". Un raccourci tout trouvé est de dire que son prédécesseur l'avait fait avant lui ! Et ce, sous les yeux des leaders de l'UFC ! Ceux-ci ont donc accepté à feu Omar Bongo (président 42 ans du Gabon !!!) de se plier et de soumettre le devenir du Gabon à l'autorité du Grand Maître de la Grande Loge Nationale de France. Rendez-vous compte de ce crime de haute trahison perpétré contre la nationa gabonaise ?

Pendant que les Gabonaises et les Gabonais pensent obéir à une "Constitution" dont ils connaissent les tenants et les aboutissants, notre classe politique obéit, elle, à une "Constitution" qui est inconnue de la majorité d'entre nous ! Autrement dit, depuis l'indépendance, le pays que nous avons en commun, fonctionne sur la base des lois et des codes juridiques qui ne sont pas le résultat logique des votes à l'Assemblée Nationale, au Sénat...ou de décrets présidentiels ! Il y aurait ainsi un Gabon "des loges", qui gouvernerait véritablement en secret, et un Gabon "de la RTG", qui reproduirait le "gouvernement maçonnique".

Où est alors passée la transparence démocratique à laquelle avaient abouti La CNS de 1990, les Accords de Paris, La Paix des Braves d'Arambo ? De quelles "avancées démocratiques" nous parlent les membres signataires de la "Déclaration de Mouila" ? Quelles "Institutions de la République", nos opposants disent-ils "respecter", celles que nous "voyons à la RTG" ou celles qu'ils "voient là-bas" avec leurs tabliers et colliers en or, dans le dos des pauvres citoyens ? Enfin de qui se moque-t-on ? Comment des Francs-maçons exigéraient-ils d'autres Francs-maçons que ces derniers se débarrassent de l'empire tyrannique et ségrégationniste que LEUR Franc-maçonnerie exerce sur le Gabon depuis au moins un demi siècle, si ce n'est plus ?

Entre une Franc-maçonnerie qui prend ses ordres d'un Français nommé Me François Stifani qui lui-même mange dans la main de la Grande Loge Unie d'Angleterre (GLUA), et le gros tiers de Gabonais et de Gabonaises dont la République est encore confisquée dans les DEUX LOGES UNIES DU GABON sur lesquels règne en DIEU-VIVANT le TR.RES. Ali-Ben Bongo-Ondimba, les responsables de l'Union des Forces du Chagement DOIVENT CHOISIR LEUR CAMP.

Ou l'un (la Monarchie maçonnique, comme le stipulent explicitement les "Anciens Devoirs") ou l'autre (la démocratie populaire). Pas les deux à la fois ! Le cul entre deux chaises est une attitude intenable, à long terme ! Cette situation "un pied dedans, un pied dehors" ne peut plus durer ! Soit les grandes personnalités de l'UFC sont "dedans" et donc avec le peuple qui appelle à une Conférence Nationale VRAIMENT SOUVERAINE (cette fois-ci !!!), soit ils sont "dehors" et si tel est le cas, qu'ils laissent le peuple s'occuper tout seul du sort des Francs-maçons qui constituent L'UNIQUE SOURCE DE LA PAUVRETE DES GABONAIS.

Il est définitivement terminé le temps des cachotteries ! Tout se sait de nos jours ! Faisons de la transparence une "Règle d'Or" ! Il est plus qu'urgent que ces hommes repentis qui n'ont de cesse de proclamer leur coupure du cordon pdgiste, vienne publiquement mettre fin à leur association de malfaiteurs avec la cabale maçonnique qui empêche que nous Gabonais ne reprenions possession de NOTRE SOUVERAINETE VOLEE, qui n'est pas prête de nous être restituée si les hautes têtes du mouvement populaire ne se détachent pas de ce lien ésotérique contraire aux lois de la République. Lequel lien "spirituel" a déjà, par le passé et notamment en 1990, silencieusement contribué au maintien d'El Hadj Omar Bongo, au fauteuil présidentiel. C'est très bien connu que des "Fraters" infiltrés dans la Coordination de l'Opposition Démocratique (COD) ont comploté à ce que la Conférence Nationale ne soit pas "souveraine". Nous n'allons pas répéter cette erreur, non ?

Pour éviter que certains "Frères d'Hiram" ne se sentent dans l'obligation de "brûler dans une loge" (si jamais une insurrection nationale devait VISITER LE BOAZ, parce que c'est ce qui va finir par arriver !), nous attendons que l'UFC et ses membres les plus en vue démissionnent par médias officiels, de leur appartenance maintenant inutile ou à la Grande Loge Nationale du Gabon ou à la Grande Loge Symbolique du Gabon. C'est d'une nécessité absolue. Il en va de la crédibilité de la future Conférence Nationale que nous voulons tous souveraine !!!

Si leur démission ne vient pas dans les tout prochains jours, il faudra que les Gabonais que les "Francs-ma-cons ne considèrent pas" commencent à "mélanger dans le même sac", le PDG de la BONNE FEMME Ali Bongo et l'UFC née à Mouila (et peut-être suicidée à Rio ?)

Auteur: Feu-PDGiste-A-Mort
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