L’Etat est quasi-silencieux, l’administration gabonaise est aux abonnées absentes et tout l’appareil du parti-Etat ignorant le désastre continue à encaisser les dividendes des compromis passés avec les compagnies pétrolières.
On sait d’ailleurs que l’entourage du putschiste gabonais est essentiellement constitué de ressortissants non-gabonais peu concernés par les problèmes du Gabon, et surtout chargé de trouver les différents stratagèmes permettant de siphonner les budgets publics de l’Etat gabonais, dont on sait que plus de 70 % des ressources proviennent de l’extraction pétrolière.
Aucune inquiétude donc ! Il ne se passe rien en dehors de la protestation courageuse d’une organisation non gouvernementale qui tente d’éveiller les consciences et à laquelle le conseil exécutif du Mouvement Civique du Gabon apporte son soutien en dénonçant l’inaction du pouvoir illégitime pris en flagrant délit d’incompétence face à une menace sur le territoire gabonais.
Alors qu’une préoccupation internationale se fait jour sur toutes les questions environnementales, il est anormal que continue d’exister un silence presque totale sur le risque écologique de la lagune de Fernan Vaz.
Le MCG tire la sonnette d’alarme et souhaite que des mesures d’urgence soient prises afin de tout faire pour que les dégâts déjà considérables soient limités, que des sanctions soient prises en direction de la société exploitante responsable et que les populations gabonaises soient protégées dans les plus brefs délais.
Mengue M'Eyaa
Présidente du Conseil exécutif
Mouvement civique du Gabon (MCG)
On sait d’ailleurs que l’entourage du putschiste gabonais est essentiellement constitué de ressortissants non-gabonais peu concernés par les problèmes du Gabon, et surtout chargé de trouver les différents stratagèmes permettant de siphonner les budgets publics de l’Etat gabonais, dont on sait que plus de 70 % des ressources proviennent de l’extraction pétrolière.
Aucune inquiétude donc ! Il ne se passe rien en dehors de la protestation courageuse d’une organisation non gouvernementale qui tente d’éveiller les consciences et à laquelle le conseil exécutif du Mouvement Civique du Gabon apporte son soutien en dénonçant l’inaction du pouvoir illégitime pris en flagrant délit d’incompétence face à une menace sur le territoire gabonais.
Alors qu’une préoccupation internationale se fait jour sur toutes les questions environnementales, il est anormal que continue d’exister un silence presque totale sur le risque écologique de la lagune de Fernan Vaz.
Le MCG tire la sonnette d’alarme et souhaite que des mesures d’urgence soient prises afin de tout faire pour que les dégâts déjà considérables soient limités, que des sanctions soient prises en direction de la société exploitante responsable et que les populations gabonaises soient protégées dans les plus brefs délais.
Mengue M'Eyaa
Présidente du Conseil exécutif
Mouvement civique du Gabon (MCG)