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POUR UN GABON MEILLEUR!
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24 mars 2013

TRÈS BONNE NOUVELLE ET BRAVO À LA SÉLÉKA ET AUX CENTRAFRICAINS QUI SE SONT DÉBARRASSÉS DE LEUR DICTATEUR!

 

Le fauteuil vide du président François Bozizé, au palais présidentiel de Bangui

- Rca - Le 24 mars 2013 © koaci.com - Coup d'Etat en République centrafricaine. Bangui, la capitale, est tombée au mains des rebelles de la Séléka. Ces derniers ont pris depuis ce dimanche matin très tôt, le palais présidentiel de Bangui et pour l'heure n'y ont pas trouvé le président Bozizé dont nous sommes sans nouvelles depuis son voyage en Afrique du Sud de vendredi.


Selon les témoignages recueillis auprès de sources jointes sur place ce dimanche matin, KOACI.COM apprend qu'il y aurait eu quelques tirs mais que dans l'ensemble tout se serait passé extrêmement vite. Les Faca (Forces armées centrafricaines) n'auraient pas combattu. Des accrochages avec les forces sud africaines se seraient déroulés depuis ce samedi soir au niveau de l'École nationale de la police, mais tout indique à cette heure que le Séléka aurait assez rapidement pris le dessus pour ensuite rentrer définitivement dans la capitale centrafricaine afin de la contrôler.

Les forces Françaises, qui contrôlent actuellement l'aéroport, ne se sont pas mêlées aux combats.

L'objectif pour les rebelles était, selon nos informations, de mettre la main sur le président Bozizé. Après avoir fouillé en vain le palais, des soldats du Séléka se sont déployés dans le centre de Bangui. Des patrouilles et des barrages se mettent actuellement en place comme nous l'affirmeront plusieurs témoignages concordants.

Les dernières nouvelles donneraient le président Bozizé, absent pendant l’attaque, en fuite vers Mbaiki, dans la préfecture de la Lobaye, dans le sud-ouest du pays. Le successeur du président Bozizé serait le chef d'état-major du Séléka, le général Issa Issaka.

Pour rappel, la rébellion a pris les armes en décembre pour renverser le président Bozizé, arrivé lui-même au pouvoir par un coup d'État contre Ange-Félix Patassé le 15 mars 2003, avant de signer avec lui un accord de paix le 11 janvier à Libreville au Gabon.

Auteur: Nanita - Koaci.com

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Commentaires
D
Excellentes nouvelles.Les combattants du SELEKA ne sont pas du tout des voyous,<br /> <br /> comme présentent généralement les gens de cette nature les régimes néocoloniaux<br /> <br /> sur-corropus.Quand ils prennent Bangui, tout le monde le voit: le gouvernement de<br /> <br /> Maître Tiangaye n'est pas du tout ébranlé. Il faut bien signaler les faits comme ceux-ci.<br /> <br /> Les combattants du Séléka voulaient le départ de Bozizé qui s'apprêtait à s'accro-<br /> <br /> cher au pouvoir par tous les moyens.Il attendait d'ailleurs l'occasion, pour bafouer<br /> <br /> les accords signés à Libreville, et précisant que Bozizé s'en irait en 2016 quel que<br /> <br /> soit le cas.Les Négro-Africains que nous sommes devraient se réjouir . L'Armée<br /> <br /> française n'était-elle pas sur place,avec un contingent de près de 250 hommes ? Elle<br /> <br /> n'eut pas,comme habituellement, à se mêler des choses qui ne la regardent pas du<br /> <br /> tout. Si c'est Sarkozy et ses amis Guéant et autres Henri Gaino qui étaient à l'Elysée,<br /> <br /> les combattants du Séléka auraient affronté une résistance meurtrière folle , qui se-<br /> <br /> rait passée par la manipulation des troupes centrafricaines régulières. C'est à partir de<br /> <br /> là qu'on aurait organisé les assassinats de toutes sortes, et la France en servant des<br /> <br /> moribonds qui nous sont imposés un peu partout autour, serait alors venue jouer les<br /> <br /> pompiers, après avoir été les lanceurs de colonnes de feu, le but final étant de mettre<br /> <br /> sur place un croupion.<br /> <br /> Nos souvenirs ne sont peut-être pas bons . Mais nous ne connaissons en Afrique<br /> <br /> Noire Francophone aucun mouvement national armé qui , aussitôt le moribond ren-<br /> <br /> versé,maintient le gouvernement. Les gens du Séléka savent donc ce qu'ils font. Ils<br /> <br /> savent qui est M° Tiangayé: bravo aux Négro-Africains de plus en plus compétents<br /> <br /> dans l'analyse des problèmes réels de notre sous-région.<br /> <br /> <br /> <br /> LE CAMEROUN EGALEMENT SUR LA VOIE DE LA MONARCHISATION .<br /> <br /> <br /> <br /> Depuis l'arrivée des Socialistes au pouvoir en France, des pressions salutaires sont<br /> <br /> faites sur le Chef Supérieur Béti de Mvomeka'a, Paul Biya qui se comporte de plus en<br /> <br /> plus comme un débile mental . Les pressions lui demandent de mettre sur pied un<br /> <br /> SENAT . Depuis 1996 au Cameroun,c'est le Président du Sénat qui assurerait la va-<br /> <br /> cance du pouvoir. Mais voilà: depuis 1996,il n'y a ni Sénateurs, encore moins un Président du Sénat . Tous ceux qui s'étonnent au sujet d'une telle anomalie sont<br /> <br /> systématiquement ridiculisés par le "Roi miraculé", dont les écoles gagneraient à<br /> <br /> dispenser l'art des espiègleries où son régime se passe maître. Le Cameroun méri-<br /> <br /> terait aujourd'hui le titre de "Première Puissance Mondiale des Espiègleries Politi-<br /> <br /> ques".. Les espiègleries ne semblent donc pas passer avec lesSocialistes Français.<br /> <br /> Ceci oblige les tricheurs institutionnels à se lancer sur la création concrète de ce<br /> <br /> Sénat. Les élections auraient lieu le 14 Avril-ci. Il faudrait 100 Sénateurs,mais tous<br /> <br /> ne sont exclusivement que les barons du parti unique néocolonial, dont certains Mi-<br /> <br /> nistres partis du pouvoir néocolonial à cause de monstrueux vols de déniers publics,<br /> <br /> mais qu'on ramène comme Sénateur autour de la "mangeoire national" comme di-<br /> <br /> rait M. Blaise-Pascal Talla du Journal "L'Afrique en Expansion". Cent Sénateurs <br /> <br /> donc,mais pratiquement tous du RDPC,parti unique-néocolonial qui seul est d'ailleurs<br /> <br /> autorisé à nommer les membres de ELECAM, instance arbitrale des partis politiques<br /> <br /> et des élections. Mais tout ceci ne suffit pas . Car sur cette centaine , Paul Biya en-<br /> <br /> tend directement nommer par décret ,30 obligés, parmi lesquels son fils directement<br /> <br /> Les Négro-Africains se poseraient donc la question ci-après, maintenant même.<br /> <br /> Quel obligé et sombre courtisan parmi ceux que met en place actuellement la "Pre-<br /> <br /> mière Puissance Mondiale de la Corruption et des savantes Espiègleries Politiques",<br /> <br /> s'opposerait demain si le parti unique néo-colonial décide de proposer la présidence<br /> <br /> de ce Sénat-croupion , au fils de Paul Biya directement ? Nous ne voyons pas. Si le<br /> <br /> vote des Sénateurs a lieu le 14 Avril et que le soir même, le fils de Paul Biya en de-<br /> <br /> venait Président, qu'est-ce qui empêcherait le "Champion des Espiègleries"de démis-<br /> <br /> sionner le 17 ou 18 Avril 2013 puisque Paris le trouve "trop trop vieux" déjà, pour<br /> <br /> laisser la place à son fils ? Rien. Strictement rien. Les choses se joueront simple-<br /> <br /> ment comme elles se sont jouées au Togo,au Gabon, et peut-être bientôt au Congo<br /> <br /> Brazzaville.C'est le jeu que voilà que le Séléca ne voulait pas du tout voir à Bangui !<br /> <br /> Du coup, quand un débile mental se lance dans des très dangereuses manipulations<br /> <br /> comme ce que tous voient à présent:croyez-vous qu'il ne prépare pas plutôt les popu-<br /> <br /> lations aux violents affrontements, aux haines inter-tribales ? Ne croyez-vous pas que<br /> <br /> des débiles mentaux comme ceux-ci ne préparent pas plutôt des bains de sang à très<br /> <br /> grande échelle ? <br /> <br /> Nous laissons les informations en gestation. D'ici la fin du mois d'Avril 2013, tout ob-<br /> <br /> servateur sérieux de la vie politique de nos sous-régions sera sans doute mieux fixé.
E
Bravo a la Séléka d'avoir ensuite pillé et raketté des civils ainsi que d'avoir assassiné des enfants pour de l'argent.
POUR UN GABON MEILLEUR!
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