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POUR UN GABON MEILLEUR!
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2 janvier 2014

Gabon: L’affaire qui met mal à l’aise l'inculte criminel A. Bongo Ondimba 9%, l’achat des Mirages F1AZs du Gabon

Depuis Dubaï où une enquête informelle a été improvisée au cours d’une simple discussion entre hommes d’affaires, voici que soudain, une piste sensible est exposée et suivie par certains amis du Gabon en alertant quelques citoyens gabonais.

De la conversation, voici une des phrases qui déclencha ce qui pourrait être une « bombe à fragmentation » contre le régime dictatorial des Bongo Ondimba.

« …Au fait, le petit maladroit et inintelligent du golf de Guinée qui n’a pas été « béni » par son feu père, on pourrait vraiment le mettre en mal pour le déguerpir car il devient vraiment gênant pour les affaires… »

« …Aaah oui, très gênant... »

« …On aura tout essayé pour le rendre aimable, voire même intelligent, mais c’est évident, il n’y arrivera pas. On ne peut pas supporter çà plus qu’il ne faudrait… »

Les faits :

Ali Bongo Ondimba Président illégitime, et bénéficiant illégitimement aussi de l’immunité présidentielle, pourrait se voir un jour interpelé en tant qu’ancien Ministre de la défense gabonaise. Il ne pourra pas se démêler de ses magouilles qui, si le dossier est bien suivi, devraient l’accabler dès le premier janvier 2014 ce d’autant qu’une nouvelle opposition s’organise autour de la diaspora gabonaise.

Dès 2006, Ali Bongo Ondimba devait préparer sa garde militaire et son armement contre la population gabonaise et contre le moindre citoyen qui daignerait s’opposer à sa dictature. Ceux qui le savaient ont d’ailleurs exprimé une crainte terrible inexpliquée de devoir l’affronter sur le terrain de la force, vous comprenez.

Naturellement donc, Ali Bongo Ondimba s’adressa à l’industrie française Dassault Aviation pour s’équiper et préparer son intimidation et sa violence contre la libération du Gabon. Il ne s’en priverait pas d’un carnage quelque soit la résistance qui se présentait à lui. Les tueries de Port-Gentil en témoignent.

La demande est donc présentée à l’Etat français qui, tenue par son statut de pays des droits de l’homme, se retrouvait devant un dilemme à savoir, comment pourrait-il vendre des armes, et pas des moindres, à un pays auquel il est historiquement lié et avec lequel il a des accords légitimes de défense, alors que ce même pays est reproché par plusieurs instances internationales d’être le premier violateur des droits dont il est symboliquement représentatif ?

L’équation est très complexe pour la France, vu le manque à gagner économique et stratégique qu’elle risque.

Ali Bongo Ondimba, enfant adopté-gâté-pourri, alors Ministre de la défense, pas par hasard (qui préparait subtilement son holdup électoral), fait ses caprices auprès des dirigeants français de l’époque……suivez notre regard.

Les caprices du fiston dictateur sont tels que pour ne pas brouiller certains intérêts privés, un « bon conseil » lui est donné de s’orienter vers une autre source d’équipement, ni vue ni connue, l’Afrique du Sud qui plus est culturellement proche de lui. Il pouvait ainsi satisfaire son souhait de préparer son arsenal contre la volonté des citoyens gabonais, puisque le coup était bien projeté….la fin de son père adoptif. Ce n’était en effet qu’une question d’assistance respiratoire à maintenir ou à débrancher tant que l’affaire est en négociation. Vous avez compris le manège des vacances successives de la présidence par les absences non expliquées du vieux dictateur.

Ali Bongo Ondimba s’est donc offert 6 (six) Mirages F1AZs en 2006 via une voie détournée des contraintes auxquelles était confronté son régime.

Sans que le parlement gabonais, ni tout autre institution de la république, ne fût consulté, aucun arbitrage sur l’intérêt d’un tel projet n’avait été évoqué. Quel était le niveau de priorité d’un tel achat par rapport aux besoins réels des gabonais ?

Des questions concrètes seront donc à poser à Ali Bongo sur son passage au Ministère de la défense gabonais, alors que dans le même temps ses accords de défense garantissent suffisamment la protection de ce petit pays dans la sous région.

L’opacité de ces achats d’armes n’étant pas à démonter, mais certaines explications élémentaires doivent être fournies

En effet,

- À quel prix M. Ali Bongo Ondimba a-t-il acheté ces avions gadgets, six Mirages F 1AZs deuxièmes mains, aux Sociétés Aérosud et Paramount Group du très controversé multi milliardaire M. Ivor Ishikowitz et ami de Jacob ZUMA ?

Le Coût Total de ces achats d’armes reste un mystère pour les gabonais qui ont le droit de savoir où va leur argent ?

Son père, Omar Bongo Ondimba, s’en est allé sans rendre des comptes du Pétrole Gabonais dont les recettes ont été dilapidées ou détournées à des fins familiales au détriment de l’intérêt national. Le fils flirte avec le même destin depuis son passage au Ministère de la défense et son usurpation de la présidence en 2009.

- M. Ali Bongo continue aujourd’hui de confondre le bien public avec son héritage familial) pillé des caisses de l’Etat gabonais pour satisfaire ses caprices de roi sans légitimité et jouer au petit riche du golf de son imagination. ?

- À quelles fins ces Mirages étaient-ils destinés à être utilisés ?

Ali Bongo Ondimba avait dû mentir à l’Ambassadeur Américain de l’époque, M. R. Barrie Walkey, que ces Mirages serviraient à une éventuelle Guerre contre la Guinée Equatoriale voisine et aussi pour des raisons de sécurité régionale. Sauf qu’il s’agissait d’une névrose paranoïaque bien connue des obsédés du pouvoir, dictateurs de surcroit, qui voient le diable partout dans ce qui ne leur est pas soumis.

Ali Bongo Ondimba avait donc développé une psychose contre son frère adoptif lui aussi, M. André Mba Obame qui, n’en déplaise aux autres paranoïaques, se projetait un destin national dans un climat de transition démocratique.

D’après une observation psychologique faite sur Ali Bongo Ondimba, ce dernier s’était monté un scénario digne d’un film d’Hollywood et dans lequel il plaçait M. Mba Obame en acteur fomentant une attaque militaire depuis la Guinée Equatoriale, la fameuse histoire ubuesque de l’Île Mbanié n’en est pas loin de ce type de scénario !

Ali Bongo avait tout simplement trouvé un prétexte pour préparer un affrontement contre son propre frère adoptif. Une paranoïa « familiale » qui vira au dérapage violent de l’un, Ali Bongo Ondimba, contre son frère et tout un peuple.

- Ces armes, tel qu’il l’argumentait, devaient servir au maintien de l’ordre, mais quel ordre contre des populations désarmées, pauvres et affamées, le tout en violation flagrante des Droits de l’Homme.

Après la succession d’événements qui se sont produits ces dernières années, il s’avère que cet équipement n’aurait pas servi qu’à une simple intimidation de la population ou de l’opposition, mais à assassiner les populations de Port-Gentil et à menacer militairement toute velléité de l’opposition contre le régime Ali Bongo.

- Le Gabon via Ali Bongo Ondimba aurait donc acheté des armes par des sociétés écrans d’Afrique du Sud en contournant de facto l’embargo fait par la France de ne pas vendre des armes aux pays instables politiquement et non respectueux des Droits de l’Homme.

- Pour un pays qui n’arrive pas à fournir de l’eau potable de façon régulière et stable à ses populations, un pays qui ne répond pas aux besoins de santé de ses citoyens au comble de voir eux-mêmes les dirigeants aller se faire soigner dans les pays occidentaux, en bref un pays qui a du mal à répondre aux besoins fondamentaux de ses populations, comment justifier ou expliquer cette folie d’achat d’armes aussi onéreux ? 

Une course à l’armement dans la sous-région, n’est-elle pas simplement le corolaire des menaces contre la paix et contre la liberté des peuples de la sous-région ?

Décidément, ce régime, au-delà de son esprit outrecuidant, violent et ignorant, il démontre à suffisance qu’il est incompétent pas que depuis 2009, mais depuis toujours. Depuis qu’il s’est établi en 1967 par Albert Bernard Bongo devenu Omar Bongo Ondimba par un délire psychiatrique non traité médicalement. Car nous vous rappelons que le Gabon n’était pas un pays à audience ni obédience musulmane, et que ce sont les Omar et Ali Bongo Ondimba qui ont reconverti aussi bien la sociologie du Gabon que ses institutions en une religion qui n’a aucune racine spirituelle sur la terre de nos ancêtres gabonais, quel sacrilège !

Monsieur Ali Bongo Ondimba,

Le peuple souverain doit vous demander des comptes sur toutes vos folies contre son bien-être.

A quel prix avez-vous réellement acheté ces avions de chasse (deuxième main) alors que notre pays exprimait déjà et continue d’exprimer d’autres priorités vitales ?

Pourquoi avez-vous contourné l’embargo contre la vente d’armes aux pays instables pour vous les procurer par des sociétés « douteuses » en Afrique du Sud ?

Pourquoi votre version à l’ambassadeur des Etats-Unis de l’époque était-elle tronquée, si votre intention était vraiment la défense du territoire gabonais et la sécurité régionale ?

Monsieur Ali Bongo Ondimba,

Nous ne vous laisserons pas de répit, tant que vous n’aurez pas quitté ce pouvoir que vous occupez illégitimement et surtout que vous gérez chaotiquement, non seulement en trahissant l’Etat gabonais, mais également en humiliant le peuple gabonais.

Cette affaire suivra son cours d’exposition dans les détails afin que les gabonais sachent la vérité, mais surtout comment envisager en toutes considérations la libération de notre pays soyez en sûr.

Source : Convention de la Diaspora Gabonaise

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