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6 février 2010

L'EMERGENCE PASSE D'ABORD PAR LE RESPECT DU VOTE DU PEUPLE, LE RESPECT DE LA LOI ET LA BONNE GOUVERNANCE PUBLIQUE

Gabon / Social : Les Forces de l’ordre dictent leurs loi à Libreville…C'est l'émergence d'Ali Bongo

Gabon / Social : Les Forces de l’ordre dictent leurs loi à Libreville…C'est l'émergence d'Ali Bongo

Suite à la décision prise par le gouvernement d'Ali Bongo, l'ouverture à 10 heures et la fermetures des bars et débits de boissons à partir de 21 heures 30, dans le but de lutter, entre autres, contre les nuisances sonores et le banditisme qui caractérisent la capitale Gabonaise Libreville. Malheureusement l’opération ne se déroule pas dans les conditions satisfaisantes.


En effet, les agents chargés de faire respecter à la lettre cette mesure se livreraient, à des abus de tout genre. De fait, des voix s’élèvent, ces derniers jours, à travers différents quartiers de la capitale pour dénoncer le comportement blâmable de certains agents de force de l’ordre. Selon des témoignages concordants, des policiers agiraient comme s’ils étaient eux-mêmes au-dessus de la loi qu’ils sont censés faire respecter.

Concrètement, ils molesteraient des citoyens qu’ils trouvent dans les débits de boissons ou aux alentours. Sans autre forme de procès. Pir encore, ils arnaqueraient certains tenanciers de bars, à qu’ils menacent d’arrestation si les intéressés refusent à leur donner des espèces sonnantes et trébuchantes. Pas plus tard que le week-end dernier, nombre de gérants ont fait les frais de l’opportunisme des agents dépêchés sur le terrain pour procéder à la fermeture des bars après 21 heures 30.


Selon nos sources, les commerçantes interpellées à la hussarde étaient sommées de payer une somme de 24 mille pour les nationaux et 100 mille pour les expatriés. « C’était la condition sine qua non pour recouvrer la liberté. J’ai été obligée de payer la somme exigée. Je n’avais pas le choix », témoigne une commerçante installée à Mélen.


Entrés avec brutalité dans le bar, les agents se seraient ex abrupto mis à molester les honnêtes citoyens qui s’apprêtaient à vider leurs derniers verres alors commercial était déjà porte closes. « Nous étions entrain de vider nos derniers verres hors du bar. Nous étions installés à la cour attenant audit bar. Mais quand les policiers sont descendus, ils ont commencé à nous brutaliser, après les gens diront que c’est Ali9 qui les envoient commettre des abus dans la capitale c’est pas normal il faut les disciplinés »,« Alors qu’à Port-Gentil les agents sont un peu plus disciplinés que ceux de Libreville ».

Une heure plus tôt, c’est le bar "30 Avril " situé au carrefour Nyama à Ozangué dans le cinquième arrondissement de la ville de Libreville, qui a essuyé les foudres des hommes en uniforme. Les intéressés auraient tout cassés sur leur passage avant d’embarquer la caissière. Au lever du jour, le bar dancing offrait un spectacle désolant : verres, bouteilles, chaises, et tables cassés. Bef tout était sens dessus dessous. Comme si le lieu avait été le théâtre d’une bataille rangée.


La question que tout le monde se pose est de savoir pourquoi les agents dépêchés sur le terrain pour faire respecter la mesure de fermeture des bars et débits de boissons agissent de la sorte .Certaines victimes de la folie des policiers ont décidée d’ester en justice. Et dans un autres sens ces actions rendrons impopulaire le président de la République, qui à pour objectif faire du Gabon un pays émergent.


Source : Génération Nouvelle Auteur : Génération Nouvelle

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