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POUR UN GABON MEILLEUR!
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5 novembre 2010

APPEL À UN VOTE MASSIF EN FAVEUR DE L. GBAGBO, VRAI COMBATTANT POUR UNE AFRIQUE LIBRE ET PROSPÈRE

Le candidat GBAGBO Laurent,

Né en 1945 à Babré, Commune de Gagnoa, de KOUDOU Paul et de GADO Marguérite, Historien Chercheur, domicilié à Abidjan Cocody, GBAGBO Laurent a reçu l'investiture du Front Populaire Ivoirien (FPI), du Parti Républicain de Côte d'Ivoire (PRCI), de l'Union des Sociaux Démocrates (USD), de l'Union des Nouvelles Générations (UNG), du Parti pour l'Unité de la République de Côte d'Ivoire (PUR CI), du Mouvement National Citoyen Alternative (MNC), de l'Union Républicaine pour la Démocratie (URD), de l'Union Démocratique et Citoyenne (UDCY), de l'Alliance Ivoirienne pour la République et la Démocratie (AIRD), et du Rassemblement pour la Paix, le Progrès et le Partage (RPP) ;
Il a choisi la couleur "rose", le sigle "LMP" et pour symbole "deux doigts levés (l'index et le majeur) ouverts en 'V'" pour l'impression du bulletin unique de vote.

CURSUS
Il est une des figures de proue de l'opposition, auréolé du prestige d'avoir été le seul à affronter le Président Félix Houphouet Boigny lors de la première élection Présidentielle pluraliste en 1990.

1965 - 1973
Après un baccalauréat de philosophie au Lycée Classique d'Abidjan (1965), Laurent Gbagbo obtient en 1969 une licence d'histoire à l'Université d'Abidjan. Historien de formation, Laurent Gbagbo devient en 1970 professeur d'Histoire-Géographie au Lycée Classique d'Abidjan. Syndicaliste actif, il entre dans l'opposition clandestine avec Bernard Zadi Zaourou, alors enseignant à l'Université d'Abidjan. Le contenu de ses cours et son esprit insoumis dérangent. Très rapidement, Laurent Gbagbo se retrouve en prison aux camps militaires de Séguéla et de Bouaké de mars 1971 à janvier 1973.

1974 - 1981
A partir de 1974, il exerce comme chercheur au sein de l'Institut d'Histoire, d'Art et d'Archéologie Africaine (IHAAA) de l'Université d'Abidjan et obtient parallèlement en 1979 un doctorat de troisième cycle de l'Université de Paris VII. Son sujet de thèse était intitulé "Les ressorts socio-économiques de la politique ivoirienne : 1940-1960". En 1979, il publie aux Editions CEDA une oeuvre épique retraçant l'épopée de Soundjata, roi du Mandingue (Soundjata, Lion du manding). Il publie également aux Editions CLE du Cameroun un essai intitulé "Réflexion sur la conférence de Brazzaville".

1982 - 1988 : l'exil
Devenu directeur de l'IHAAA en 1980, Laurent Gbagbo est, en tant que membre du Syndicat National de la Recherche et de l'Enseignement Supérieur (SYNARES), à la pointe des mouvements de grève qui touchent en 1982 le secteur de l'enseignement. Avec un groupe d'enseignants, il créé en 1982 dans la clandestinité l'embryon de ce qui deviendra le Front Populaire Ivoirien (FPI). Considéré comme principal responsable du "complot des enseignants" de 1982, il part en exil volontaire en France en vue de lutter contre "la dictature du PDCI" et prêcher le multipartisme. Il publie alors en 1983 aux Editions l'Harmattan un ouvrage intitulé "La Côte d'Ivoire pour une alternative démocratique", suivi en 1987 d'un ouvrage collectif présentant le FPI et son programme de gouvernement : "les propositions pour gouverner". Durant cette période d'exil, Laurent Gbagbo obtient le statut de réfugié politique et se lie d'amitié avec Guy Labertit, alors Secrétaire National chargé des Relations Internationales du Parti Socialiste Unifié (PSU) et animateur de la revue Libération Afrique. Ce dernier, qui héberge un temps Laurent Gbagbo, a l'occasion d'apprécier ses qualités humaines et ses dons artistiques, ayant même appris grâce à lui à jouer quelques accords de guitare. Ignoré du pouvoir socialiste français de l'époque qui est gêné par son discours anti-Houphouet, Laurent Gbagbo se rend en 1983 au Congrès du Parti Socialiste de Bourg en Bresse avec un badge de journaliste de la revue Libération Afrique. Sous le gouvernement de Jacques Chirac en 1986, il est l'objet de pressions policières (Renseignements Généraux) en vue de son retour en Côte d'Ivoire.

Source : site internet de la présidence de Côte d'Ivoire

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