14 mai 2012
ENCORE LE SARKOZY IMPLIQUÉ DANS UNE AFFAIRE DE GROS SOUS, SELON LE GRIGRI INTERNATIONAL
BGFI : Bongo, Oyima, Sarkozy, Labonté et les autres
L’histoire du bonus de 1 milliard de francs empoché par l’Administrateur Directeur général à vie de la BGFI, Henri-Claude Oyima, associée à la lutte que se livrent Ali Bongo et ses frères pour le contrôle de cette banque familiale ont plongé la société dans la tourmente. A cela, il convient d’ajouter le maintien en prison, à Bordeaux, de Patrice de Maistre, administrateur de la BGFI, écroué dans le cadre de l’affaire Bettencourt.
Petite leçon de syllogisme : Patrice de Maistre, ancien gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt, est soupçonné d’avoir aidé à financer illégalement la campagne électorale de Nicolas Sarkozy en 2007. Le même Nicolas Sarkozy est accusé d’avoir reçu des fonds secrets de Bongo en 2007. Bongo étant, à l’époque des faits, propriétaire de la BGFI, et Patrice de Maistre, administrateur , on peut donc penser que Bongo, Bettencourt, de Maistre, Sarkozy…
En attendant que le juge bordelais, Jean-Michel Gentil, dénoue les liens de cette filandreuse filouterie, Oyima, lui, a choisi de se débarrasser brutalement de Jean-Luc Labonté, DG de la banque. Menacé lui-même de destitution, l’ADG prend les devants en sacrifiant l’un de ses collaborateurs. Le 9 mai dernier, Labonté a été viré manu militari et aussitôt remplacé par un autre Français, Laccruche Alihanga. On n’a pas fini de solder les comptes à la BGFI !
Source : grigriinternational
Petite leçon de syllogisme : Patrice de Maistre, ancien gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt, est soupçonné d’avoir aidé à financer illégalement la campagne électorale de Nicolas Sarkozy en 2007. Le même Nicolas Sarkozy est accusé d’avoir reçu des fonds secrets de Bongo en 2007. Bongo étant, à l’époque des faits, propriétaire de la BGFI, et Patrice de Maistre, administrateur , on peut donc penser que Bongo, Bettencourt, de Maistre, Sarkozy…
En attendant que le juge bordelais, Jean-Michel Gentil, dénoue les liens de cette filandreuse filouterie, Oyima, lui, a choisi de se débarrasser brutalement de Jean-Luc Labonté, DG de la banque. Menacé lui-même de destitution, l’ADG prend les devants en sacrifiant l’un de ses collaborateurs. Le 9 mai dernier, Labonté a été viré manu militari et aussitôt remplacé par un autre Français, Laccruche Alihanga. On n’a pas fini de solder les comptes à la BGFI !
Source : grigriinternational
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