18 juin 2012
Le Président de la Fédération Gabonaise de Boxe placé en garde à vue pour séquestration et abus sexuels
L'homme n'est plus à présenter car étant tristement célèbre; c'est le béninois Clément SIMAWANGO, alias SOSSA, ce faux gabonais qui vient une fois de plus d'être interpelé par la DGR pour séquestration et abus sexuels sur deux boxeuses dans son pays le Benin.
C'est le quotidien L'UNION du Mercredi 13 Juin 2012 qui met à jour cette information. L'arrestation de ce voyou fait suite à une plainte déposée par les deux boxeuses pour abus sexuel, séquestration, maltraitance et abandon.
Les faits remonteraient avant et pendant la dernière mise au vert de l'équipe de boxe au Bénin. Clément SIMAWANGO, alias SOSSA à sequestré les deux pugilistes dans une pièce avant de les contraindre à entretenir des rapports sexuels à trois (sorte de partouze), et ce, sous la menace d'une arme et des amulettes présentées comme le vaudou. Des allégations corroborées par les plaignantes. Voici le témoignage de l'une de ses victimes, Gaëlla KEMEZA ALLOGHO " il avait étalé devant nous la peau d'un animal et des gris-gris u'il a présentés comme étant le vaudou.
Puis, il nous a contraintes à lui jurer fidélité en touchant sa chaïnette. Il a dit que si nous le trompions un jour, nous aurons des menstrues pendant une semaine avant que mort s'en suive". Elle a avoué que Clément SIMAWANGO, alias SOSSA, avait commencé à abuser d'elle et de sa collègue avant le dernier voyage de l'équipe nationale de boxe. Avant ces relations sexuelles sous contrainte, ont expliqué les deux boxeuses, le président de la Fégaboxe organisait chaque fois des séances de vaudou au cours desquelles il rappelait à ses victimes une obligation de fidélité. Stephanie-Dorine MAMBOU IBOULI déclare avoir des ennuis de santé depuis lors. "Quand je dors, je fais des cauchemars. Je vois souvent en face de moi un boxeur qui a les jambes de M.SOSSA? Je souffre aussi des maux de ventre. Je sens comme si un serpent se déplaçait dans mon ventre", affirme la pugiliste.
Clément SOSSA était déjà sous le coup de la justice avant ce scandale. Le 19 juin dernier, le ministre de la défense, Pacôme-Rufin ONDZOUNGA, avait écrit à son collègue de l'Intérieur, Jean-François NDOUNGOU, pour l'informer de ce que le président de la Fégaboxe, Clément SOSSA entretenait une filière d'immigration clandestine dans notre pays. En effet, profitant de son séjour au Cameroun lors de l'organisation du premier championnat amateur de la zone III, (du 02 au 10 Avril 2011 à Yaoundé), il aurait fait entrer clandestinement au Gabon, Mlle Stéphanie MAMBOU (l'une de ses victimes), alors championne de boxe camerounaise. SOSSA l'aurait intégrée dans l'équipe gabonaise, en lui faisant établir un ordre de mission numero 2605/MJLS/CAB/SGA 1, signé du ministre de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs. La liste est longue.
QUI EST CLEMENT SIMAWANGO alias SOSSA?
En réalité Clément SIMAWANGO, alias SOSSA, est un béninois 100%. Son père est bijoutier au Bénin. Il arrive au Gabon de manière clandestine avant de se faire établir un certificat de nationalité sous le nom de SOSSA. Il a commencé comme jongleur et cascadeur. Il faisait tourner des bassines, soulevait des enfants et sautait parfois des bâtiments de 5 étages sans se faire du mal, certainement grâce à son vaudou. Il obtien un grand marché d'imprimérie à la mairie de Libreville. Non seulement il roule les responsables de la mairie, mais se lance dans le business: traffique de fausse monnaie, construction de motels, bar-restaurants etc.
Fort de son statut financié, l'homme est champion dans la corruption; c'est ainsi qu'il corrompt certaines autorités gabonaises pour acceder à certaines facilités et autres services. A son domicile de SODUCO, l'homme a une chambre spéciale où il fait ses incantations de vaudou, chambre dont l'accès est strictement interdit à sa vaguemess de femme.
Une autre de ses forces, c'est l'utilisation de la presse pour médiatiser ses activités et les différends dons faits aux boxeurs. L'homme, qui veut être gabonais a depuis un certain temps des problèmes avec la vraie famille SOSSA. entre 2002 et 2003, il avait organisé un repas à son domicile, en convoquant les différentes ligues et en donnant de l'argent à certains membres, très pauvres et sans influences, de la famille SOSSA pour témoigner de son affiliation avec cette famille. L'homme est un expert dans l'art de la fraude et de la falsification. Lors d'un voyage des membres de la fégaboxe aux Etats-Unis, il avait fait remplacer le médécin de la Fégaboxe par son épouse avec le titre de médécin, alors que cette dernière n'est pas médécin. Il y a quelques temps, l'homme avait nargué un colonel de la DGDI.
Aujourd'hui, avec le soutien de ses frères béninois, Maixent ACCROMBESSI, Léon MISTOUL, DOSSOU, l'homme n'a peur de personne. Pendant ce temps, des rigolos gabonais, comme l'un de ses vice-président, continuent de travailler avec un violeur, un voleur, donc un criminel. Nous osons croire que la justice gabonaise fera cette fois-ci son travail, à condition que les hommes politiques et toute la clique des béninois citée-dessus, laissent les gars faire leur travail
Les faits remonteraient avant et pendant la dernière mise au vert de l'équipe de boxe au Bénin. Clément SIMAWANGO, alias SOSSA à sequestré les deux pugilistes dans une pièce avant de les contraindre à entretenir des rapports sexuels à trois (sorte de partouze), et ce, sous la menace d'une arme et des amulettes présentées comme le vaudou. Des allégations corroborées par les plaignantes. Voici le témoignage de l'une de ses victimes, Gaëlla KEMEZA ALLOGHO " il avait étalé devant nous la peau d'un animal et des gris-gris u'il a présentés comme étant le vaudou.
Puis, il nous a contraintes à lui jurer fidélité en touchant sa chaïnette. Il a dit que si nous le trompions un jour, nous aurons des menstrues pendant une semaine avant que mort s'en suive". Elle a avoué que Clément SIMAWANGO, alias SOSSA, avait commencé à abuser d'elle et de sa collègue avant le dernier voyage de l'équipe nationale de boxe. Avant ces relations sexuelles sous contrainte, ont expliqué les deux boxeuses, le président de la Fégaboxe organisait chaque fois des séances de vaudou au cours desquelles il rappelait à ses victimes une obligation de fidélité. Stephanie-Dorine MAMBOU IBOULI déclare avoir des ennuis de santé depuis lors. "Quand je dors, je fais des cauchemars. Je vois souvent en face de moi un boxeur qui a les jambes de M.SOSSA? Je souffre aussi des maux de ventre. Je sens comme si un serpent se déplaçait dans mon ventre", affirme la pugiliste.
Clément SOSSA était déjà sous le coup de la justice avant ce scandale. Le 19 juin dernier, le ministre de la défense, Pacôme-Rufin ONDZOUNGA, avait écrit à son collègue de l'Intérieur, Jean-François NDOUNGOU, pour l'informer de ce que le président de la Fégaboxe, Clément SOSSA entretenait une filière d'immigration clandestine dans notre pays. En effet, profitant de son séjour au Cameroun lors de l'organisation du premier championnat amateur de la zone III, (du 02 au 10 Avril 2011 à Yaoundé), il aurait fait entrer clandestinement au Gabon, Mlle Stéphanie MAMBOU (l'une de ses victimes), alors championne de boxe camerounaise. SOSSA l'aurait intégrée dans l'équipe gabonaise, en lui faisant établir un ordre de mission numero 2605/MJLS/CAB/SGA 1, signé du ministre de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs. La liste est longue.
QUI EST CLEMENT SIMAWANGO alias SOSSA?
En réalité Clément SIMAWANGO, alias SOSSA, est un béninois 100%. Son père est bijoutier au Bénin. Il arrive au Gabon de manière clandestine avant de se faire établir un certificat de nationalité sous le nom de SOSSA. Il a commencé comme jongleur et cascadeur. Il faisait tourner des bassines, soulevait des enfants et sautait parfois des bâtiments de 5 étages sans se faire du mal, certainement grâce à son vaudou. Il obtien un grand marché d'imprimérie à la mairie de Libreville. Non seulement il roule les responsables de la mairie, mais se lance dans le business: traffique de fausse monnaie, construction de motels, bar-restaurants etc.
Fort de son statut financié, l'homme est champion dans la corruption; c'est ainsi qu'il corrompt certaines autorités gabonaises pour acceder à certaines facilités et autres services. A son domicile de SODUCO, l'homme a une chambre spéciale où il fait ses incantations de vaudou, chambre dont l'accès est strictement interdit à sa vaguemess de femme.
Une autre de ses forces, c'est l'utilisation de la presse pour médiatiser ses activités et les différends dons faits aux boxeurs. L'homme, qui veut être gabonais a depuis un certain temps des problèmes avec la vraie famille SOSSA. entre 2002 et 2003, il avait organisé un repas à son domicile, en convoquant les différentes ligues et en donnant de l'argent à certains membres, très pauvres et sans influences, de la famille SOSSA pour témoigner de son affiliation avec cette famille. L'homme est un expert dans l'art de la fraude et de la falsification. Lors d'un voyage des membres de la fégaboxe aux Etats-Unis, il avait fait remplacer le médécin de la Fégaboxe par son épouse avec le titre de médécin, alors que cette dernière n'est pas médécin. Il y a quelques temps, l'homme avait nargué un colonel de la DGDI.
Aujourd'hui, avec le soutien de ses frères béninois, Maixent ACCROMBESSI, Léon MISTOUL, DOSSOU, l'homme n'a peur de personne. Pendant ce temps, des rigolos gabonais, comme l'un de ses vice-président, continuent de travailler avec un violeur, un voleur, donc un criminel. Nous osons croire que la justice gabonaise fera cette fois-ci son travail, à condition que les hommes politiques et toute la clique des béninois citée-dessus, laissent les gars faire leur travail
Auteur: DIKUNDU
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