GABON: TENTATIVE D'ASSASSINAT DE L'OPPOSANT ET PR AGRÉGÉ A. OSSA PAR LE RÉGIME CANNIBALE, INCOMPÉTENT ET VOLEUR A.BONGO 9%

Un Professeur des universités, poignardé à Libreville par des gangsters qui le suivaient.

Le Pr Albert ONDO-OSSA, universitaire gabonais (l'un des plus grands économistes du Gabon), croyant catholique, sortant de la messe de la Pentecôte, une voiture conduite par des gangsters le suivait; après un tête-à-queue, une personne est descendue de la voiture et l’a poignardé sauvagement en pleine journée non loin de l'ambassade de Turquie au Gabon. Nous espérons que les caméras de l'Ambassade de Turquie qui ont filmé la scène montreront les images de cette agression abjecte.

Le Pr Albert ONDO-OSSA est actuellement au bloc opératoire de la Clinique Chambrier.

Ce grand économiste gabonais n’ayant pas accepté de participer à l’équipe incompétente qui dirige actuellement le Gabon, on pourrait comprendre qu’il représente l’une des cibles à abattre, ou à intimider avant 2016. Le gouvernement gabonais a intérêt à mettre toute la lumière sur cette affaire des voyous et de criminels à l’échelle de l’Etat.

Auteur : Dr Jean Aimé MOUKETOU

Comments

[David MBADINGA]

Il faut condamner vigoureusement cet acte ignoble, cette lâche tentative d'assassinat du Professeur ONDO OSSA, perpétrée par des "gangsters en service commandé. N'est-on pas en train d'assister au lancement d'un plan de liquidation des opposants au régime dictatorial du PDG émergent? Plan concocté en prélude à la grande échéance de 2016?



Il faut dénoncer cet acte barbare qui se produit alors que Libreville est totalement quadrillée par des forces de sécurité et de défense depuis bientôt 4 ans, dont la raison avancée est d'assurer la sécurité des personnes et des biens. De quelle sécurité s'agit-il lorsque des paisibles citoyens sont agressés en pleine journée et parfois en présence des agents de forces de sécurité?



Les gabonais attendent des explications du pouvoir sur cette énième tentative de meurtre qui ne saurait rester impunie. Nous souhaitons vivement que l'arme blanche utilisée n'ait pas été préalablement empoisonnée.